Le journaliste Pierre Blériot Nyemeck fustige Murielle Blanche pour sa forte propension à exposer sur les réseaux sociaux sa vie de luxe.
L’actrice et productrice Murielle Blanche est aujourd’hui l’une des personnalités les plus populaires du monde des réseaux sociaux au Cameroun.
Elle a connu une ascension fulgurante. Murielle Blanche se fait connaître en 2017 à travers la web-série Pakgne dans laquelle elle joue aux côtés de Marcelle Kuetche.
Depuis 2020, elle joue le rôle de Passy dans la série Madame... Monsieur d'Ebenezer Kepombia. Sa présence actuelle sous les feux de la rampe et son désormais statut de super star des réseaux sociaux est très loin de faire l’unanimité.
Son luxe attire la jeunesse
Dans une récente sortie sur les antennes d'Info TV, le consultant de la chaîne s’est offusquée du comportement de Murielle Blanche, présentée comme un modèle pour la jeunesse camerounaise.
Pierre Blériot Nyemeck est particulièrement agacé sur la vie princière que Murielle Blanche exhibe sur les réseaux sociaux en longueur de journée.Elle qui vivait cachée sur les bancs de l’école, notamment en raison de ses mauvais résultats. « A l’école elle était parmi les dernières de la classe. C’est la fille à qui on remettait le bulletin en catimini, parce qu’on ne voulait pas lire sa moyenne. Ses camarades le savent. Et un matin ses camardes commencent à la prendre pour un modèle de vie ? Ce n’est pas croyable ! » S’étonne Pierre Blériot Nyemeck, dans les propos rapportés par LeBledParle.
Répondant à un internaute qui soutient qu’il ne faut pas condamner quelqu’un qui a travaillé dur afin de s’offrir une voiture de 28 millions comme Murielle Blanche, Pierre Blériot Nyemeck se montre clair : « Ce n’est pas le fait d’avoir une voiture de 28 millions, c’est la sérénité avec laquelle on a ces bien. Son frère Cabrel Nanjip qui est dans la glace aujourd’hui nous a présenté, il y a quelque temps une belle voiture. C’est dans cette belle voiture qu’il est mort. Moi je veux honorer les morts, mais je veux sauver surtout les vivants ».
