Abdouraman Hamadou Babba est un acteur majeur du football camerounais et un fervent critique de la gestion de la Fecafoot par Samuel Eto’o.
Selon lui, depuis l’arrivée de l’ancien footballeur à la tête de la Fecafoot en décembre 2021, de nombreux problèmes ont émergé et la situation du football camerounais est devenue préoccupante. Il accuse également le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi, de ne pas recadrer Samuel Eto’o et de fermer les yeux sur les violations des lois de la Fecafoot.
Une gestion critiquée par Abdouraman Hamadou Babba
Abdouraman Hamadou Babba est un acteur engagé dans le football camerounais et il n’hésite pas à critiquer ouvertement la gestion de la Fecafoot par Samuel Eto’o. Selon lui, depuis l’arrivée de l’ancien footballeur à la tête de la fédération, de nombreux problèmes ont émergé, notamment des conflits internes, des décisions arbitraires et une mauvaise gestion des ressources financières. Il estime que Samuel Eto’o a multiplié les faux pas et que cela a eu un impact négatif sur le football camerounais.
Le rôle du ministre des Sports
Abdouraman Hamadou Babba ne mâche pas ses mots envers le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi. Pour lui, le ministre ne remplit pas son rôle de recadrer Samuel Eto’o et de veiller au respect des lois de la Fecafoot. Il accuse le ministre de fermer les yeux sur les violations des règles et de favoriser certains individus au détriment de l’intérêt général. Pour Abdouraman Hamadou Babba si le ministre avait fait son travail correctement, les acteurs du football camerounais n’auraient pas été obligés de saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS) en Suisse à plusieurs reprises.
Le football camerounais dans l’impasse
Selon Abdouraman Hamadou Babba, la gestion de la Fecafoot par Samuel Eto’o et l’inaction du ministre des Sports ont plongé le football camerounais dans l’impasse. Il estime que les problèmes internes, les conflits et les décisions arbitraires ont un impact négatif sur le développement du football dans le pays. Il déplore également le recours fréquent au TAS en Suisse, qui témoigne selon lui d’un manque de confiance dans les instances nationales.
