Ses propos avient provoqué un tollé général au sein de l’opinion. Dans un tweet , Mimi Fawaz, la journaliste nigériane qui Co présentait la cérémonie du tirage au sort de la CAN 2021 aux côtés de Léonard Châtelain au Palais des Congrès, déclarait avoir passé la nuit à s’affronter avec les moustiques dans sa chambre d’hôtel à Yaoundé.
Dans le même tweet, la présentatrice nigériane affirme qu’elle aurait dû apporter avec elle un insecticide pour faire face à l’agression des moustiques.
De propos qui ont provoqué un tollé général au sein de l’opinion. La nigériane était alors accusée d’avoir jeté du discrédit sur les établissements hôteliers camerounais qui, pourtant s’apprêtent à accueillir dans quelques mois les délégations étrangères pour la CAN 2021.
Moqueries et parodies à la vitesse grand V
Lynchée littéralement sur les réseaux sociaux, Mimi Fawaz n’a pas eu le choix que de faire amende honorable, indiquant surtout qu’elle faisait simplement de « l’autodérision », qui est le fait de se moquer de soi-même.
«Ma remarque sur le moustique dans ma chambre d’hôtel au Cameroun était de l’autodérision et je n’avais aucune intention d’offenser qui que ce soit. Toutes mes excuses pour l’offense que cela a pu causer, je n’en n’avais aucune intention », a-t-elle twetté ce 19 août 2021.
Ce matin sur les réseaux sociaux, Mimi Fawaz est revenue sur cette affaire qui, à jamais, restera gravée dans sa mémoire.
« Parlez du moustique qui voulait me piquer, c’était une blague sur un moustique. Ce n’est pas le pays que j’insultais. J’ai toujours écrit de bonnes choses de votre pays. Un pays qui a une grande histoire liée au football. J’adore le football. (…) C’était violent. Les gens m’ont insultée. J’ai trop eu d’insultes comme j’ai jamais eues dans ma vie. On m’a appelée pute, salope, tous ces noms… », a-t-elle declaré.