Pour certains observateurs, la décision prise par Samuel Eto’o de rompre le contrat avec Le Coq Sportif ne passe pas.
Mais ces derniers, trouvent en face d’eux un certain Célestin Djamen, prêt à tout pour sauvegarder l’mage de marque de l’ex goléador camerounais.
Célestin Djamen a quitté le terrain politique pour se former en bouclier autour de Samuel Eto’o, lui qui reçoit quelques flèches empoisonnées depuis l’annonce de la rupture du contrat avec l’équipementier français Le Coq Sportif.
Le leader politique soutient que Samuel Eto’o n’a enfreint aucune loi en signant un nouveau contrat avec One All Sports
Pour Célestin Djamen les « talibans » et les « journaleux » veulent à tous les prix saper les efforts et le travail de Samuel Eto’o, pourtant déterminé à donner un souffle nouveau au football camerounais. « les journaleux mal poilés, les talibans animés par l’esprit du village et pour lesquels le Cameroun reste un pays étranger et à détruire tant qu’ils n’ont pas pris le Pouvoir, les journalistes sans talents qui ont raté leur carrière, les lanceurs d’alerte devenus lanceurs de merde rémunérés par ceux qu’on connait, nous parlent de mafia, rétro-commissions ou encore blanchiment d’argent », fulmine Célestin Djamen dans un texte publié sur sa page facebook ce jour.
L’homme politique brandit par ailleurs les réalisations de Samuel Eto’o, 8 mois seulement après son arrivée à la tête de la Fecafoot, un peu comme pour confondre les adversaires du Grand 9. «Depuis l’arrivée de Eto’o à la tête de la Fecafoot en décembre 2021, la plus belle chose qui soit arrivée à notre football depuis 1959, les problèmes de primes des Lions ont disparu, le championnat anesthésié depuis au moins deux saisons a repris, les gradins jadis désertés par les Camerounais refont le plein et le championnat féminin a été ressuscité…etc. Que demander de mieux ? », s’interroge-t-il pour conclure.
