×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

Alerte: Le projet d’assassinat de maitre Dominique Fousse du collectif des avocats de Malicka est en marche

Me Dominique Fousse paierait le prix de son soutien à Malicka, la jeune femme victime des abus sexuels dans le bureau de journaliste sportif Martin Camus Mimb.

Selon les sources, Me Dominique Fousse, qui conduit le collectif des avocats de Malicka, continue de recevoir des menaces par message de personnes anonymes

Déjà en pleine révélations sur le scandale de Martin Camus Mimb, Me Dominique Fousse avait reçu des menaces de personnes inconnues lui promettant de « riposter».

Avocate au barreau du Cameroun et militante bien connue des droits de l’homme, Maître Dominique Fousse est présentée comme l’avocate des causes perdues. On l’a vu notamment prendre le devant de la scène sur l’affaire Jules Omer Tchuenkam,un ex détenu libéré après 10 années passées en prison sans jugement; Lydienne Taba, la petite amie de l'ancien sous-préfet de Lokoundje, assassinée par ce dernier, ou encore Florence Ayafor, la gardienne de prison décapitée à Pinyin dans la région du Nord-Ouest.

Pour le cas Malicka, Me Dominique Fousse fait l’objet d’un projet d’assassinat. «Nous connaissons ton cabinet, ta maison et nous n’hésiterons à te rendre visite », lui balance au téléphone un autre numéro inconnu.

Malgré ces menaces, la militance des droits l’homme attend poursuivre sa mission. « Nous sommes là pour la défense, et une menace ne m’engage en rien et ne me fera pas virer ou faire un pas à côté par rapport à la ligne que je me suis fixé (…) D’autre part, il faut savoir que je ne me laisserai pas faire, que des plaintes ont été déposées contre des personnes qu’on va identifier en cybercriminalité », réagit Me Fousse.

Tout ceci intervient alors que Martin Camus Mimb et son complice Wilfried Eteki, sont en ce moment placés en garde à vue à la police judiciaire de Douala sous instruction du procureur de la République