Répondant à ses détracteurs, Calixthe Beyala évoque son influence mondiale avec plus de vingt romans traduits dans une trentaine de langues et une carrière de cinéaste et conférencière. Elle affirme également n’avoir aucune obligation envers le Cameroun, malgré ses origines, se positionnant comme une figure emblématique de la littérature et des arts.
La sortie de Calixthe Beyala :
Aux incultes qui osent parler de moi, je leur dévoile, ce que je n’aime jamais faire l’étendue de ma carrière. C’est vrai dans un pays où les élites intellectuelles sont martyrisées, rien d’étonnant.
Je suis l’écrivain de l’Afrique francophone le plus lu dans le monde avec plus de vingt romans à mon actif
Je suis traduite dans plus de trente langues.
– Prix du meilleur roman africain.
– Prix français Mauriac de l’académie française,
– Grand prix littéraire de l’Afrique noire
– Prix tropique
– Grand prix du Roman de l’académie Française,
– Grand prix de l’UNICEF
– Grand prix de la Francophonie
-Prix du meilleur roman francophone,
Je suis traduite dans plus de trente pays
Je suis commandant des arts et des lettres
Je suis Chevalier de la Légion d’honneur
Je ne vous parle pas de ma carrière de cinéaste ou de mes conférences dans le monde entier.
Dorénavant, celui qui veut défendre son amant, doit d’abord décliner ses hauts faits, parce que je le dis haut et fort, je ne dois absolument rien au Cameroun, même si je suis de part ma naissance, camerounaise
Calixthe Beyala