L’hon. Jean Jacques Ekindi a claqué la porte du dialogue national à son deuxième jour de discussion.
Le coordonnateur du mouvement progressiste a déclaré : « Je suis parti parce que je ne voulais pas affronter qui que ce soit. Je prie cependant pour que le dialogue apporte la paix au Cameroun »
Le président du parti du mouvement progressiste a été vice-président de la reconstruction et du développement des régions touchées par la crise lors des discussions du dialogue à Yaoundé.
Avant lui, l’avocat Akere Muna a quitté les lieux lundi en affirmant que «la forme de l’État, la libération des prisonniers aurait dû faire partie du processus ».