Cet élu estime clairement que le ministère de la défense(gouvernement) a fait montre d’une grande provocation et déplore vivement les conditions qui entourent le décès de ce journaliste d’expression anglaise.
La mort de ce “guerrier de la plume” continue de faire du grabuge. Actuellement c’est autour des élus représentés à l’assemblée nationale d’en faire écho. Adamou Koupit, élu UDC à la chambre basse (assemblée nationale) a fait part de ses préoccupations lors de l’ouverture de la session parlementaire du 10 juin dernier.
Il pense à juste titre, concernant les circonstances de la mort de samuel Wazizi que« les circonstances du décès de ce compatriote nous semblent vraiment contradictoires par rapport à l’Etat de droit qu’on est en train de se battre pour bâtir. Il n’y a aucune disposition de loi ni dans le code pénal, ni dans la loi anti terrorisme qui permette qu’un citoyen soit interpellé sans mandat, gardé, et qu’il arrive à mourir en détention. Pour nous, c’est un recul par rapport à l’Etat de droit qu’on s’efforce à bâtir au Cameroun».