L’écrivaine franco-camerounaise, dans une publication sur sa page facebook a dit tout sa peine et sa désolation face aux différentes menaces de personnes sur internet.
Voici la teneur :« Chers amis, Facebook n’est pas un pays ; il ne possède pas un président de la République et un gouvernement. Il n’a ni école ni juge et encore moins un tribunal. Pour ceux qui sont mécontents, allez devant les tribunaux, les insultes et les déclamations ne changent rien ». « Quant à ceux qui me menacent convaincus que je vais faire ce qu’ils veulent, ils se fourrent le doigt dans l’œil ! Je suis une femme libre, une femme débout et personne ne m’insulte sans conséquence ni ne menace de me violer sans voir une facture lui être présentée ! Oui, allez au diable ! Allez donc tous cueillir des mangues pourries, ceux qui estiment qu’une femme insultée, menacée de viol, charriée, traînée pour rien dans la boue ne doit pas moufter, je vous dis, allez donc boire la Seine ! » .
Elle poursuit en disant :« Allez-vous lui faire la bise en reprochant à votre mère de porter plainte ? Que Nini ! Ne faites pas aux autres, ce que vous n’aimeriez pas qu’on vous fasse. Et les voilà, tribalistes à souhait, dans leurs faux médias destinés à leur tribu, des faux journalistes et faux écrivains… Vous l’avez eu, oui, ça ne change rien, vous l’avez dans le trognon. Je vous le dis en vérité celui qui prend le risque de m’agresser, prend aussi le risque de se retrouver devant les tribunaux ! ».
