Cameroun-Politique: A 81 ans Woungly Massaga le compagnon de lutte de Um Nyobè démissionne du MRC deux mois seulement après son adhésion.

Woungly Massaga

Le séjour du nationaliste et ancien compagnon de lutte de Um Nyobè et Ernest Ouandié au sein du MRC de Maurice Kamto aurait été plutôt éphémère.

Woungly Massaga, alias commandant Kissamba, ancien chef de la branche armée de l’Union des populations du Cameroun (Upc), qui a rejoint les rangs du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) il y a juste deux mois s’en va.

C’est dans une lettre de démission transmise au president national du MRC ce 12 novembre que l’homme de 81 ans s’est prononcé.

Même si la hiérarchie du parti du Pr Maurice Kamto n’a pas encore réagir, on peut tout de même lire dans cette lettre de démission les quatre éléments qui ont motivés la décision du patriarche. L’homme dit présenter en toute logique sa démission,

« démission qui intervient à la veille des états généraux de l’UPC dont j’ai proposé la tenue en tant que doyen » déclare-t-il

Ci-dessous la lettre de démission de Woungly Massaga,

23472223_10155263290141491_6388781010920309714_n.jpg

Partager l'article:
Étiquettes:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans la même catégorie:

Les évêques camerounais lancent un appel à l’espoir et à l’unité nationale. Depuis Buea, les évêques du Cameroun ont adressé un message fort au peuple

Le tribunal militaire rechigne à considérer les arguments de la défense. Le Tribunal militaire de Yaoundé a tenu une audience ce 11 novembre. Au cours

Le maire de Banka se ravise et autorise les festivités du RDPC à la place des fêtes. Le maire de la commune de Banka, Joseph

Ce mercredi, les partisans du président Paul Biya vont célébrer le 42e anniversaire de son accession à la présidence. Dans une circulaire datée de fin

Dans son édito publié dans Mutations le 22 octobre 2024, George Alain Boyomo aborde le retour du président Paul Biya après 45 jours d’absence pays.

Le tribunal de première instance de Kaéle, de l’Extrême-Nord, a débouté Robert Kona dans sa plainte contestant le congrès de mai 2019 qui avait porté