C’est la quintessence d’un message tweet publié ce matin par Denis Kwebo, président du Syndicat National des Journalistes du Cameroun (SNJC).
Taxée de quatrième pouvoir, la presse au Cameroun aujourd’hui est dans une situation très inconfortable. On assiste pour la plupart de temps à un journalisme à gage, avec le foisonnement des UNES identiques, parfois au service des hommes au pouvoir. de la vraie arnaque journalistique.