C’est certainement par cette expression que Chantal Roger Tuile Directeur de publication de l’hebdomadaire « La Tribune de l’Est » marque véritablement son positionnement dans la conquête du Palais d’Etoudi en 2018.
Très présent dans l’environnement médiatique, celui qui vient de saisir l’Ambassadeur des Etats Unie au Cameroun pour un différend l’opposant à Mekulu Mvondo, Directeur Général de la CNPS se dit déterminer à la course pour le fauteuil présidentiel.
« Debout le Cameroun » c’est le mouvement avec lequel le journaliste devrait redéfinir l’ordre gouvernant. Il se donne pour mission de redresser un Cameroun dont l’injustice et la misère sont endémique. « Debout le Cameroun ! D’abord parce qu’il y a l’obligation de redresser ce pays. Pour qu’un pays évolue, pour qu’il marche il faut qu’il soit debout. Le Cameroun a atteint de tels bas-fonds de putréfaction, de misère et d’injustice au point qu’aujourd’hui il y a une urgence. Il faut que le Cameroun se lève avant de recommencer à marcher. » explique-t-il.
Sur la télévision Equinoxe le 15 novembre dernier, celui qui a été respectivement militant de l’UPC, RDPC, UFP, a ajouté «j’ai l’impression que les trois leviers qui sont l’essentiel d’un pays n’existent plus au Cameroun. Un peuple qui est bien éduqué, bien jugé et qui est bien soigné est déjà le fondement d’une République solide »,
Chantal Roger Tuile assimile la politique à un car de transport « Je considère la politique comme un car de transport qui part de Yaoundé pour Douala. Si le car de transport tombe en panne à Boumnyebel . Si l’objectif c’est Douala eh bien vous avez le droit de changer de voiture ».
Pour finir le journaliste donne rendez-vous aux prochaines échéances électorales auxquelles prendra part son parti politique « Debout le Cameroun »