Alain Denis Ikoul, Journaliste sportif et promoteur du site CFOOT, invite le patron de l’encadrement technique de la sélection national, à rendre public les noms de ces cadres de l’équipe qui ont décliné la séance des tirs aux buts.
L’Égypte et le Cameroun, sont passés par la fatidique épreuve des tirs aux buts pour se départager.
Dans cet exercice, le portier égyptien, a réalisé une prouesse, en repoussant deux tentatives (Harold Moukoudi, Léa-Siliki). Clinton Nji, quatrième tireur camerounais, a botté le cuir loin de la lucarne, donnant ainsi la victoire aux pharaons d’Egypte.
Alain Denis Ikoul, Journaliste sportif et promoteur du site CFOOT, invite le coah Toni Conceiçao, à rendre public les noms de ces cadres de l’équipe qui ont fui leurs responsabilité, pour livrer les jeunes joueurs à la vindicte populaire.
Il faut que Conceiçao fasse la lumière sur les noms des cadres qui ont fuit les tirs au but » #CFOOT « Dans cette séance de tirs au but de la honte, soit les cadres ont fuit leurs responsabilités, soit c’est Conceiçao qui a désigné les tireurs en choisissant les « jeunes ». Mais la deuxième option me semble invraisemblable, alors forcément il y a des cadres qui ont fuit leurs responsabilités pour livrer les jeunes à la vindicte populaire. L’idée n’est pas de déresponsabiliser Conceiçao qui a mal géré le match, mais après je veux juste comprendre comment Zambo Anguissa, Ngadeu, Bassogog et même Faï Collins ou encore André Onana n’ont pas pris leurs responsabilités. Ce sont les seuls cadre de cette équipe qui restaient encore sur le terrain, et je pense qu’ils devaient prendre leurs responsabilités comme Aboubakar l’a fait. Il faut donc qu’on nous dise ce qui s’est passé pour que les Moukoudi et Léa Siliki, des mecs qui savent à peine chanter l’hymne du Cameroun, des garçons qui n’ont pas un grand vécu dans l’équipe, se retrouvent à tirer devant des cadres comme Zambo et les autres. On avait à tort ou à raison, reproché Eto’o d’avoir laissé Womé tirer en 2005, mais après, la lumière a été faite, et les camerounais ont su ce qu’il s’était passé ce jour. Je pense donc que la lumière doit être aussi faite sur cette séance de tirs au but de la honte, et on doit expliquer aux Camerounais, en DONNANT LES NOMS des cadres qui ont fuit les tirs au but, parce que aujourd’hui on insulte ces enfants qui ont raté, or ils ont au moins eu le courage d’aller tirer.
