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CAN Total Cameroun 2021 : ça ne sent pas bon pour Garoua

Une mauvaise nouvelle pourrait venir de Garoua.

En effet, les doutes commencent à planer sur la ville Garoua, désignée pour accueillir l’une des poules de la CAN Total 2021 que le Cameroun va abriter dans 07 mois.

C’est Guibai Gatama qui rapporte cette information. Sur sa page Facebook ce matin, parlant de la CAN 2021, le Directeur de Publication du journal Œil du Sahel écrit : «Des informations concordantes font état de la menace de suppression qui plane sur la poule de Garoua, faute de capacité d’accueil. Garoua ne pourrait donc dans le meilleur des cas n’accueillir qu’un match de quart de finale et peut-être le match de classement ».

Loin d’avoir jeté un pavée dans la marre, Guibai Gatama, soutient que Garoua mérite bien acceuillir une poule lors de la prochaine CAN. « Le Grand-Nord mérite d’accueillir avec enthousiasme cette grande fête continentale », note-t-il.

Toutefois, le journaliste, invite t-il les autorités à finaliser les deux hôtels en chantier depuis 2016 et qui font défaut. « Ensemble tout est possible », lance-til.

Pourtant, côte infrastructures sportives, les membres de la mission conjointe d’inspection CAF-FIFA, en visite récemment au Cameroun en vue de la prochaine Coupe CAN, ont unanimement salué la qualité des installations à Garoua. Ils avaient plutôt affiché moins d’enthousiasme à Yaoundé, et son complexe Olembe.

«Je suis un ancien footballeur et lorsque j’entre dans un terrain, la première chose qui m’intéresse c’est la pelouse. Je suis content de ce que j’ai vu à Garoua », s’était réjoui Anthony Baffoe. Avant de poursuivre : « Tout est au top, que ce soit le terrain principal (Roumde Adjia, Ndlr) ou son annexe. Les installations sont simplement fantastiques.».

Au terme leur visite du complexe sportif Olembé,, les experts de la CAF et de la FIFA n’aveint pas affiché le même enthousiasme qu’à Garoua et Bafoussam. L’infrastructure, censée être le symbole de la compétition, est loin d’être achevée. Sur le site, c’est la course contre la montre. Au moins 800 ouvriers enchaînent les heures de travail jours et nuit.