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Commissariat de Sécurité Publique de Mfou : Les fruits tiendront la promesse des fleurs !

Ce sera avec le concours de la hiérarchie et des élites! Nommé le 16 Mars 2021 par un arrêté Présidentiel et installé à ses fonctions de Chef de cette unité le 06 Avril dernier par le Commissaire Divisionnaire Ngah Didier Délégué régional à la sûreté nationale du Centre, le Commissaire de police Jean Michel Bengono Bengono commence à réduire la psychose installée au sein des populations de la ville de Mfou. En moins de 02 mois de sa prise de service, le grand banditisme reste un triste souvenir, l'insécurité a pratiquement disparu, le Chef d'unité réside effectivement dans la ville et reste opérationnel et disponible de jour comme de nuit, sa collaboration avec l'autorité administrative et l'Etat-major est franche et appréciable, le calme et la sécurité publique ont été restaurés dans la ville, la peur s'est estompée et les populations ont repris goût à la vie. Ceci sans compter les difficultés rencontrées par cette unité de police dans l'exercice de ses missions régaliennes. Reportage...

S'il y a 09 choses essentielles que l'on peut retenir d'un bon Chef d'unité placé à la tête d'un commissariat de sécurité publique, c'est le respect de l'autorité administrative, l'autorité municipale, l'autorité judiciaire, l'autorité politique, l'autorité traditionnelle, l'autorité militaire, la hiérarchie policière, la bonne collaboration avec les populations et la presse. Voilà une leçon que semble très bien avoir assimilé le nouveau Commissaire de la sécurité publique de Mfou Jean Michel Bengono Bengono. Celà est d'ailleurs perceptible non seulement au sein de sa hiérarchie, au sein des autorités de la ville, au sein des populations et dans les milieux de la presse nationale et internationale.

Le commissaire Jean Michel Bengono Bengono à peine arrivé, s'est mis au four et au moulin en se battant comme un ver de terre pour restaurer la sécurité publique dans la ville. Très disponible de jour comme de nuit, ce vaillant policier a une fois de plus perdu le sommeil, un peu comme dans le Noso d'où il sort, pour réduire la psychose au sein des populations de son territoire de compétence. L’épanouissement social et économique des populations est bien perceptible dans la ville de Mfou qui est très bien animée de jour comme de nuit, grâce à la sécurité publique qu'assure avec brio et maestria le prestigieux corps de la sûreté nationale à Mfou.

Le grand banditisme reste un triste souvenir, l'insécurité a pratiquement disparu et l'on peut aisément circuler de jour comme de nuit dans toutes les artères de la ville sans risque de se faire agresser impunément par des malfrats. Les cambriolages dans les domiciles et dans les administrations de la ville, ont disparu. Le Chef d'unité réside effectivement dans la ville et reste opérationnel et disponible de jour comme de nuit, des patrouilles pédestres de dissuasion sont opérées par la police à une certaine heure de la nuit. La collaboration du Chef d'unité avec l'autorité administrative et l'État-major est franche et appréciable, la synergie de travail Police-Gendarmerie portée disparue à un moment, a été retrouvée, cette synergie s'est même élargie aux autres corps de l'état-major en occurrence le Commissariat spécial, la Surveillance du territoire, la Cellule départementale des anciens combattants et victimes de guerres, l'Administration pénitentiaire et l'Administration des forêts et la faune. Le calme et la sécurité publique ont été restaurés dans la ville, la peur s'est estompée et les populations ont repris goût à la vie. La presse valide.

Toutefois, ce policier certainement assez vaillant éprouve de nombreux difficultés sur lesquelles devraient un temps soit peu, s'appesantir sa hiérarchie, les élites de Mfou et de la Mefou et Afamba. Il y a un sérieux problème de mobilité au sein de l'unité à cause du manque de matériel roulant. Le seul Pick-up de commandement qui existait a été frappé par la vieillesse et a été réformé. Il faut une dotation en véhicules et motos de service pour le commissariat de sécurité publique de Mfou. Ceci facilitera la mobilité lors des patrouilles de dissuasion le jour et la nuit, lors des différentes interventions et autres sollicitations des populations, lors des sollicitations de l'autorité administrative et lors de l'exécution des instructions de la hiérarchie. Sur la liste des difficultés rencontrées, il faut ajouter le manque d'effectif et le remplacement des effectifs en poste. En effet, certains policiers y en service seraient encore acquis à la cause de l'ancien Chef d'unité par intérim, toute chose qui vient donner du fil à retordre au nouveau Chef d'unité qui devra en réalité user de beaucoup de tact et de circonspection pour rendre homogène cette unité de police. Se concentrer à gérer les sensibilités au sein de cette unité, serait une perte de temps au Chef d'unité qui a d'autres défis à relever.

Selon un conducteur moto à qui nous avons tendu notre micro, "Le nouveau Commissaire de Tampy est très rassurant et proche de nous. Nous aussi on va bien travailler avec lui et on fera ce qu'il nous dira". Un certain Zang Zang Henry Collins, conducteur automobile, déclare: "Nous disons Merci à Martin Mbarga Nguelé qui cette fois, nous a doté d'un homme qu'il faut à la place qu'il faut. On a plus peur de circuler dans la nuit, la sécurité est revenue à Mfou et les bandits ont fuis. Les policiers sont de plus en plus responsables et visibles". Du côté de l'administration, un Chef service d'arrondissement qui a requis l'anonymat déclare: "Il est vrai que depuis l'arrivée du nouveau commissaire de sécurité publique, la ville est tranquille et nos administrations respirent. On n'entend plus de cambriolages dans les locaux des administrations et même dans les domiciles. Nous souhaitons juste que le nouveau commissaire continue car, le rythme est bon". Au sein du Commissariat de sécurité publique, un gardien de la paix nous a confié sous anonymat: "Mon nouveau Chef est un homme de terrain. C'est vrai qu'il a l'avantage d'avoir travaillé au Noso là où ça chauffe, mais cette expérience nous aide aujourd'hui. Car il nous a redonné le goût du travail opérationnel, le travail bien fait, les patrouilles, les contrôles, les services de garde, les couleurs, la parade, la procédure judiciaire et les conseils, car c'est aussi un bon père qui sait nous comprendre, c'est un encadreur. C'est un bon Chef. Nous allons bien travailler avec lui".

Au regard de tous ces faits d'armes en si peu de temps, il serait opportun de penser que si la hiérarchie et les élites appuient et soutiennent normalement le Commissariat de sécurité publique, les fruits tiendront la promesse des fleurs.

Engelbert MFOMO , L’Activateur