Le promoteur de B News 1 a donc un choix de continuer la collaboration avec Ernest Obama et perdre définitivement le signal de Canal+. Ces informations sont contenues dans le journal La Voix du Centre, parution de ce lundi 15 mars 2021.
A en croire ce bihebdomadaire, le promoteur de Bnews est véritablement sous pression. Des personnes influentes du sérail et proches de Jean Pierre Amogou Belinga propriétaire du groupe l’Anecdote et ancien employeur d’Ernest Obama exigeraient au promoteur de Bnews1 de contraindre Monsieur Obama à la démission. Il y a donc un choix à faire entre continuer la collaboration avec Ernest Obama et perdre définitivement ale signal de Canal+ et de le faire partir pour être à nouveau branché au réseau parisien.
Toujours selon ce tabloïde, l’ancien DG de Vision 4 serait sur le chemin du calvaire. D’ailleurs, sa voiture de service lui aurait déjà été retirée.
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Trafic d’influence, chantage, médisance et intimidations passent en mod usel pour offrir la tête d’Ernest Obama sur le plateau en or de quelques satrapes de Yaoundé. La métaphore argumentative des noces de Canaan inspire le cas du journaliste dans lequel le bal masqué des requins joue le mélodrame avec pour épilogue la chute de la cible.
Canal+ employé pour déchoir Ernest Obama
Que de plus convenable que Canal+ pour faire clouer au sol le média qui prenait son envol dans l’univers médiatique turbulent camerounais. Dans le viseur des acteurs, le média et son promoteur subissent une course folle qui vise à l’arrivée à réduire le directeur général peu importe le procédé d’attribution de sa peine. Pour quelle raison ? La déconnexion de Bnews1 de Canal+ porte un coup dur au média qui réussissait rapidement à croitre en aura auprès des consommateurs de la télé séduits par la diversité de ses programmes et la qualité de ses invités. Une réussite à la nase et au centre duquel Ernest Obama fait l’unanimité pour être le maitre à tout faire bien qu’il soit entouré par une équipe dynamique. Le retrait de la chaine du bouquet appartenant au groupe Bolloré a fait perdre à Bnews1 sa visibilité de même qu’il éloignerait des partenaires sollicitant un espace pour la publicité. Le système baisse la production des capitaux et fait cheminer l’entreprise vers sa ruine. L’enjeu du moment par les tortionnaires d’Ernest Obama aurait réussi à le mettre en désaccord avec son employeur dubitatif sur le risque de perdre un important investissement dans une guerre où son innocence lui coûte cher. Une source proche de Bnews1 et qui requiert l’anonymat énonce “un malaise entre Ernest Obama et le patron. Le promoteur de Bnews est véritablement sous pression. Des personnes influentes du sérail et proches de Jean Pierre Amogou Belinga propriétaire du groupe l’Anecdote et ancien employeur d’Ernest Obama exigeraient au promoteur de Bnews1 de contraindre Monsieur Obama à la démission. Il y a donc un choix ç faire entre continuer la collaboration avec Ernest Obama et perdre définitivement ale signal de Canal+ et de le faire partir pour être à nouveau branché au réseau parisien.
Ernest Obama sur le chemin du calvaire
“On aurait déjà retiré la voiture de service au sujet à polémique”. Le dilemme auquel ferait face le promoteur du média à qui l’on impose la maltraitance d’un employé qui est plus le directeur général de son entreprise se situe à la marge de l’éthique et de toute déontologie professionnelle. Dire qu’il s’agirait d’une immixtion incongrue dans le choix du personnel et le fonctionnement d’une structure serait poli. Non seulement la manœuvre brise la carrière de tout l’équipe des travailleurs de Bnews1 mais aussi et surtout elle force la ruine d’un homme d’affaires en plein essor dans le monde médiatique et démocratique. Ainsi Ernest Obama se trouve secoué par les vents violents à l’origine des faits qui demeurent jusqu’ici un mystère pour le grand public.