Je l’ai déjà dit et je le redis, la FECAFOOT et Samuel ETO’O Ont déjà perdu face à CoQ Sportif. Soit Coq Sportif va au mondial et la FECAFOOT lui verse des indemnités de départ en millions Fcfa soit Coq Sportif ne va pas au mondial et la FECAFOOT paie des indemnités de départ de plusieurs milliards Fcfa. EN RÉALITÉ COQ SPORTIF VA MANGER GRATUITEMENT UN ARGENT QU’IL N’A PAS TRAVAILLÉ.
Maintenant pour continuer à arnaquer intellectuellement les membres de l’église de réveil, ils s’appuient sur un document non officiel. Car cette image n’a jamais été produite par la FIFA et ne figure nulle part sur son site internet.
Le truc c’est que ETO’O veut faire son Buisness sur la vente des maillots au mondial. Il recrute une société offshore dont l’objectif est de masquer les réels bénéficiaires. Lui même par derrière fait fabriquer des maillots sous couvert de ONE ALL SPORTS. Confie la distribution des maillots à une proche de son ami Mbarga Mboa. Au final tout réseau se partage le magot après le mondial.
La FECAFOOT, ils n’en ont cure.
D’ailleurs MENDELSOHN n’a jamais mis ses pieds au Cameroun. Encore moins son représentant. C’est à dire qu’il est inconnu des autorités camerounaises. Il ne peut donc jamais être poursuivi. Et au cas même où on veut le poursuivre il met la société Off shore en liquidation à Singapour.
Entre temps, à Paris, ETO’O joue aux feyman avec Coq Sportif. Il joue la montre. Il ne sait pas que ce sont les blancs qui ont créé la mafia.
COQ SPORTIF et la FECAFOOT sont encore au tribunal à Paris. Jusqu’ici l’équipementier du Cameroun à la FIFA demeure CoQ Sportif. Donc vous croyez qu’au même moment où le Cameroun joue see matchs amicaux pour le mondial organisé par la FIFA avec Coq Sportif, la FIFAva enlever Coq Sportif pour ONE ALL SPORTS? Ayez pitié de vos cerveaux.
Bon écoutez: Prenez tous les derniers communiqués de la FECAFOOT. Si meme La FECAFOOT n’arrive pas à mettre le logo de ONE ALL SPORTS sur ses documents vous croyez que c’est la FIFA qui va mettre ONE ALL SPORTS?
La FECAFOOT et son église me rappellent le dernier jour d’un condamné.
BORIS BERTOLT
