Le vaccin AstraZeneca n’en finit pas de faire l’objet de toutes les controverses.
Pour sa campagne de vaccination, le Cameroun va recevoir d’ici peu près de 2 millions de dose du vaccin anglo-suédois AstraZeneca.
Un vaccin dont le doute plane sur l’efficacité. Plusieurs pays d’Europe ont d’ailleurs suspendu son administration. Le Dr Malachie Manaouda, ministre de la Santé, a fait savoir qu’il a requis l’avis du Conseil Scientifique sur le vaccin AstraZeneca
Pour Serge Espoir Matomba, les populations doivent prendre du recul face à vaccin querellé. « Nous disons NON À CE VACCIN dont rien n’en justifie la prise même s’il est rendu non obligatoire », écrit l’homme politique dans un texte sur sa page Facebook
Lecture :
Quelques mois auparavant, nous alertions sur les effets secondaires des vaccins.
Aujourd’hui, nous ne pouvons qu’être rassurés de voir l’engouement et la prise de conscience de certains élus de la nation qui nous rejoignent dans ce combat de sensibilisation et d’alerte sur les effets pervers de certains vaccins au Cameroun.
Bien entendu, nous poursuivons notre combat ce matin en pointant du doigt, la qualité des produits qui vont être administrés dans le cadre de la lutte contre Covid-19. l’aztrazeneca, ce vaccin de l’université d’Oxford mis à l’honneur , est très contesté à travers le monde.
Nous n’avons pas la prétention d’être des médecins mais on parle quand même de thromboses multiples et d’anaphylaxie comme effets secondaires.
Nous notons le caractère non obligatoire du produit. Toutefois, nous restons vigilants et exigeons un maximum d’informations de la part des pouvoirs publics sur les effets nocifs de ce vaccin là.
À quel âge peut-on se le faire inoculer? Quelles en sont les contre-indications ? Quels sont les détails de son RCP? Et quelle est son efficacité sur le variant ou les variants de COVID-19 en circulation chez-nous ? Voilà autant d’éléments auxquels le Ministère de la Santé devrait pouvoir répondre pour rassurer les populations quant à une éventuelle dangerosité des produits injectés…
Le taux de guérison ayant été annoncé par le même ministère de la santé à 95% sous nos latitudes, nous disons NON À CE VACCIN dont rien n’en justifie la prise même s’il est rendu non obligatoire.
