«Qu’il s’agisse du ministre de l’Administration Territoriale (MINAT), Paul Atanga Nji, du ministre d’Etat, ministre de la Justice, Laurent Esso, du ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement Supérieur, Jacques Fame Ndongo, de l’ex-ministre de la Communication, Issa Tchiroma Bakary, ou du gouverneur de la région du Sud-ouest, Bernard Okalia Bilaï, etc.», énumère le quotidien Mutations du 13 mai 2019,
Extrait de leurs propos, repris par Cameroun-Info.Net
Atanga Nji avait comparé les combattants sécessionnistes à une horde de «bandits qui allait être très vite être mise hors d’état de nuire»
Laurent Esso « cela est non négociable […] Donc, il n’y aura aucun printemps anglophone »
Issa Tchiroma, estimait qu’il n’est pas possible de dialoguer avec «les terroristes».
Okalia Bilaï avait déclaré: «Que chacun descende dans sa famille, dans son village arrêter son chien [les manifestants, NDLR]. Si ces chiens continuent à aller dans la rue pour mordre, c’est-à-dire, détruire, ils vont rencontrer les forces de sécurité».