Victorine Manga, fille de Sa Majesté Jean-Marc Manga Bessala, a été découverte à son domicile, morte et en état de putréfaction. Le petit ami de Victorine, présenté comme le suspect donne sa version des faits :
«Je suis l’auteur du meurtre de la jeune dame de Minkan. J’aimais ma Femme, mon amie, ma sœur, la mère de mon fils. Je l’aimais tellement et de là où elle se trouve elle le sait. J’ai tout sacrifié pour Elle et notre fils. Je ne l’ai pas égorgé, encore moins tout ce qui est dit dans cette publication. Le jeudi de la semaine passé je suis rentrée de mes travail quotidien et je me suis arrêté comme d’habitude à son petit commerce pour l’aider à emballer, pour qu’on puisse rentrer ensemble et faire le point sur le journée et ce jour là je devais lui donner l’argent pour payer le loyer et se coiffer. Je Vous trouverai d’ailleurs la greffe que je venais de lui acheter dans la chambre où elle a été retrouvé. Ce soir là on a fait l’amour tout allait bien. 4h du matin je me lève avant elle pour l’aider à préparer les spaghettis et chauffer l’eau pour son café et elle me demande de mettre son téléphone en charge qu’elle avait oublié. Malheureusement elle a oublié de verrouiller son téléphone, profitant du fait qu’elle ne prêtait pas attention je suis tombé sur des messages avec des hommes dont je préfère éviter les détails( mensonge, sexe anal, grossesse avortée Etc) je m’enflamme et je lui demande des explications, une disputé s’en suit. Pris de colère et de déception je l’ai giflé, et elle a prit le marteau qui était à côté pour me doser , j’ai pu maccaparer de l’objet et elle m’a arrêté les testicules c’est à ce moment que j’ai commis l’irréparable. Desenparé j’ai décidé de fuir et de vendre tout ce qui avait de la valeur dans la maison pour avoir de Quoi m’échapper. Ceux qui me connaissent Savent que je n’ai jamais fait de mal à quelqu’un et que je me battait a mon Niveau pour survivre. Je demande pardon à notre fils James et à sa grand mère mais également à toute sa famille et ses amis. Une vie ne peut remplacer une autre. Pardon au peuple camerounais. Pardon à mon Dieu que j’ai servi de toute mon énergie.»
