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«Ernest Obama est une chance pour Samuel Eto’o »

C’est un texte laudateur du Dr Pierre Nka, journaliste et directeur de publication de « Sens Politique », à l’endroit d’Ernest Obama, qui, de son point de vue joue un rôle incommensurable auprès de Samuel Eto’o, président de la Fecafoot.

Ernest Obama a la chance d’être souvent loyal. Trop loyal même jusqu’aux fameux évènements de son départ de V4. Quand il affirme qu’il était un soutien de M. Paul Biya en 2018, c’est donc normal qu’il soit proche de SEF.

Tout autre acteur qui n’a pas ce parcours doit s’abstenir de travailler avec SEF. À défaut, il ferme hermétiquement sa bouche pendant et après. En réalité, si vous refusez de lire « Eto’o, joker de Paul Biya » en 2018, suivant mon analyse au sortir d’une audience le 3 Octobre 2018, en pleine présidentielle, vous ne comprendrez pas son arrivée et surtout la volonté à faire bouger les lignes.

SEF connaît trop la Fecafoot. Ernest Obama aussi. Avec la combinaison de ces deux esprits, positivement comme négativement, le changement est inévitable. Les deux partagent aussi une personnalité forte. Nous sommes peu nombreux dans la presse à tenir Ernest Obama sur un plateau qu’il soit invité ou présentateur.

Ma relation avec lui tient à la Loyauté qu’il incarne et souvent aux changements qu’il impose. C’est bien lui qui donne l’image d’une TV à V4 après l’échec de deux grands enseignants comme manager. Vous avez vu ce qu’il a fait à Bnews1 ? Dès le lancement c’était une TV. Son erreur : un mauvais casting plein de « has been » et d’incompétent.es. Sur ce plan, quelques similitudes avec SEF durant la campagne de sa candidature contestée par moi malgré mes liens avec Ernest Obama et deux ou trois figures fortes de son équipe en route pour Tsinga.

Ce que je sais est que, avec Obama, SEF peut dormir tranquille jusqu’à ce qu’il accorde ses oreilles à d’autres personnes qui peuvent plus que jamais faciliter sa chute. Suivez mon regard…

Ernest Obama connaît les arcanes du football, son premier champ dans la presse. Il connaît aussi sentir les signes d’une déchéance dans le marigot politique camerounais. C’est un atout pour SEF.