Quelques mois seulement après Amnesty International qui accusait le Cameroun de tortures aux personnes détenues parfois sans preuve, c’est Human Rights Watch cette fois qui accable l’armée camerounais de tortures, exploitations sexuelles et expulsions des refugies nigérians.
D’après cette ONG qui a pour mission de défendre les droits de l’Homme et le respect de la déclaration universelle des droits de l’Hommes, l’armée camerounaise est coupable des faits énoncés plus haut. A ce sujet, l’organisation non gouvernemental a publié un rapport de 60 pages élaboré avec la collaboration du bureau des réfugiés du Cameroun.
Les autorités camerounaises par la voix d’Issa Tchiroma Bakari porte-parole du gouvernement nient en bloc et qualifient d’allégations destinées à jeter le discrédit sur le Cameroun.