×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

Cameroun : Armand Okol accuse le MRC d’avoir abandonné en prison Mamadou Mota

Armand Okol pense que le MRC ne fait pas suffisamment d’efforts à l’effet d’obtenir la libération de Mamadou Mota, son 1e vice-président.

Le membre du bureau politique du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (Pcrn), de Cabral Libii, a publié une réflexion sur page Facebook, dans laquelle il exprime tout son regret sur le maintien en prison de Mamadou Mota, 1er vice-président du MRC.

« Je ne suis pas narcissique, c’est pourquoi j’ai un pincement au cœur pour les souffrances subies par le sieur Mamadou Mota » a introduit Armand Okol. Avant d’embrayer : « Si j’avais la puissance de certains, je me serais dévoué corps et âme pour le sortir de là où il est reclus derrière les barreaux depuis un an et demi ».

Okol pense que Mamadou Mota est maintenu injustement en prison. « D’abord parce qu’il n’a pas commis de crime à ce que je sache, mais quand bien même, afin qu’il ait la possibilité de se mouvoir et continuer le combat. Apparemment ça s’appelle la réinsertion. Ensuite parce que pour ma part, j’estime qu’il a déjà suffisamment purgé pour sa peine comme ça, si peine y’en a », dit-il.

«Je ne suis pas de ceux qui commentent les décisions de justice, j’émets juste un modeste avis pour faire entendre ma petite voix fluette et essayer maladroitement de voler au secours à un concitoyen. Je me garderai de dire que de mon prisme d’observation, j’ai parfois le sentiment que ce congénère (il ne doit pas être loin de mes 42ans et demi) est un peu abandonné par ses compagnons de lutte », poursuit-il.

Pour finir, le Camarade de Cabral Libii soutient que le MRC ne fait pas assez pour la libération de Mota. « J’ai bien dit impression, j’en sais trop rien et puis d’ailleurs c’est pas mes oignons. Je note tout de même que le ramdam que les gens là (je n’ai indexé personne) nous ont servi jadis pour certains (…) est proportionnellement moindre pour ne pas dire inexistant pour lui ».