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Plate-forme de l’opposition et reforme du système électoral : Les choses avancent

Le délai de réception des contributions a été reporté au 20 avril 2021.

C’est la substance du communiqué qu’a rendu public Patricia Tomaino Ndam Njoya au nom des leaders des partis prenantes engagées.

Le motif relevé est lié au constat de l’engouement manifesté vu les sollicitations parvenues au secrétariat technique. D’après les sources du secrétariat technique, il y a une quarantaine de contributions reçues autant des formations politiques de l’opposition, des organisations de la société civile que celles des personnalités se recrutant parmi les autres sphères de la vie socio-économique. Parmi les partis politiques ayant adhéré à cette initiative, figurent quatre leaders, à l’instar de Hilaire Kamga, promoteur de l’offre orange; Bruno Deffo, président national du Mouvement démocratique de conscience nationale(Modecna); Tabe Dine Njang, leader du People’s action Parry(Pap) et Dunguss Fulla Dambaldi, tête de proue du Rassemblement pour le développement et la défense de la république du Cameroun (Rddrc). H. Kamga est, parmi les quatre, l’un des acteurs ayant fait paraître bien de documents sur la dénonciation des irrégularités et des incongruités du système électoral. “Elecam et l’insécurité électorale au Cameroun” et “Les 100 problèmes du code électoral camerounais” en sont deux exemples.

Cet expert en questions électorales avait posé, en janvier 2019, un débat national sur le découpage électoral. Mandataire de l’offre orange, H. Kamga avait démontré, arguments à l’appui, que le découpage électoral actuel est de nature à favoriser le parti dominant qu’est le parti au pouvoir.

Au-delà des entités politiques ayant adhéré à cette plateforme, il y a des organisations de la société civile au rang desquelles figurent la Coalition citoyenne pour le Cameroun(Coacic) et trois mouvements recensés du côté de la diaspora.

Aussi y a-t-il les contributions enregistrées des personnalités publiques qui sont au nombre de vingt. Il s’agit des enseignants d’universités, des chercheurs, des opérateurs économiques et des leaders d’opinion.

Près de dix organes de la société civile, qui vont s’associer à cette initiative dans les prochains jours, ont sollicité un léger report du délai de réception des contributions auprès du secrétariat technique. Toute chose ayant été accréditée

 

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