Le rappeur dit s’abstenir de faire des révélations qui vont pousser Samuel Eto’o vers la prison.
Hier jeudi 8 novembre, Samuel Eto'o Fils, en sa qualité de président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT), a accordé une interview fleuve à Canal 2 international.
Au cours de ce programme spécial à très forte audience, Samuel Eto’o a fait le point sur les 300 premiers jours de son mandat à l’instance faitière du football camerounais, mais aussi, l’ex attaquant a profité pour jeter quelques piques à ceux qu’il considère comme ses détracteurs sur les réseaux sociaux.
Un rappeur engagé en a appris à ses dépens. En effet, Samuel Eto’o, a notamment indexé un «certain » rappeur qui pourfend ses œuvres, pourtant ce dernier a vécu sous ses ailes pendant deux ans. «Pendant 2 ans un certain rappeur a vécu à mes frais pour 5000 euros par mois, mais aujourd'hui il me sabote. Les avis changent Avec les intérêts », a chargé l’ancien capitaine des Lions indomptables.
Tout porte à croire que ce tacle était contre Valsero. D’ailleurs, le rappeur aujourd’hui installé en hexagone, est rapidement passé à l’offensive.
Si j’ouvre ma bouche, tu vas aller en prison
L’auteur de la lettre au « président » a immédiatement convoqué Samuel Eto’o dans sa clinique chimérique.
Valsero a indiqué subtilement que les 5000 euros par mois, pendant deux ans (soit l’équivalent 78.600.000FCF) dont il est question, Samuel Eto’o lui versait en échange de quelque chose (qu’il n’a pas révélé).
Ecoutons.
