Dans une correspondance adressée au ministre de la Justice, l’artiste explique que c’est le résultat du harcèlement des autorités judiciaires dont il serait victime depuis sa démission du parti au pouvoir, le RDPC. Le harcèlement, a-t-il déclaré, est orchestré par le «cabinet civil de la présidence».
Roméo DIKA a donc entamé une procédure avec pour objectif « ABANDON DE LA NATIONALITÉ CAMEROUNAISE ». Il se plaint d’être victime d’un « HARCÈLEMENT JUDICIAIRE POLITIQUE » depuis son départ du parti au pouvoir.
Il accuse le Cabinet Civil de la présidence de la République qui, selon lui, après avoir utilisé son ex épouse contre lui, instrumentalise la justice pour lui régler les comptes. C’est ainsi qu’il a saisi le Ministre de la justice garde des sceaux à cet effet pour qu’il lui délivre un CERTIFICAT D’ABANDON DE LA NATIONALITÉ.
