×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

L'importance de créer une aura personnelle : « le parcours remarquable de Bruno Bidjang »

Dans un texte publié sur Facebook, Auréole Tchoumi, journaliste, met en lumière le parcours de Bruno Bidjang en tant que journaliste et souligne l'importance de créer une aura personnelle pour marquer les esprits en tant que professionnel des médias. L'auteur compare Bruno Bidjang à d'autres journalistes et met en avant sa capacité à se démarquer et à avoir un impact significatif. Il mentionne également des personnalités médiatiques qui ont réussi à vivre dans les esprits du public grâce à leur aura. Auréole Tchoumi encourage et félicite Bruno Bidjang pour son parcours remarquable en tant que jeune journaliste.

237actu.com vous propose le texte intégral

«Ça choque de le dire mais c’est la pure vérité. Beaucoup de gars sont hyper forts mais n’impactent pas même avec le temps.

Avec son émission Club d’Élites, il a réussi à créer une ligne de démarcation nette qui fait de lui un gars connu dans toutes les sphères et tous les milieux.

Cédrick Noufele à titre d’illustration était une vedette du 20h sur Équinoxe. Aujourd’hui encore quand tu demandes aux étudiants de citer 3 Présentateurs de Journal TV, ils te citent Cédrick Noufele, pourtant Noufele est parti depuis un bon bout déjà et le 20h ne s’est pas arrêté sur Équinoxe. Les autres n’impactent pas, parce qu’ils présentent juste un journal, ils accomplissent juste un devoir. Noufele faisait plus que ça, il travaillait à vivre dans les esprits comme un Patrick Poivre Davor.

Il y a donc des génies comme ça, Bruno marque les esprits et il sait construire une aura qui accompagne le journaliste dans le construit de sa personnalité. Ce n’est pas une simple affaire de figurer à la Télévision. Ils sont des centaines à la Télévision, mais le Public comme des fans de football, ne garde que quelques noms.

Charles Ndongo, Alain Belibi, Jean Vincent Tchienehom, Puis Njawe, Alex Mimbang, Anne Nsang, Anne Marthe Mvoto, Barbara Etoa, Denise Epote, Eric Chindje, Willy Niba,  Polycarpe Essomba, Valentin Siméon Zinga, Albert Ledoux Yondjeu et plusieurs autres « grands noms » de la Presse nationale continuent de vivre dans les esprits parce qu’ils avaient réussi à créer ce choc électrique qui fait qu’on reste quasi éternel.

Aujourd’hui dans n’importe quelle école du Cameroun, demandez 5 noms de journaliste masculin à 50 enfants, le nom de Bruno Bidjang reviendra minimalement 46 fois.

Être bon journaliste ne suffit pas, des milliers le sont. Il faut avant tout et surtout bâtir sa réputation et vivre le plus longtemps possible dans les esprits. Et ça, Bruno Bidjang franchit peu à peu ce cap, il y est déjà à au moins 65%.

Pour un jeune enfant, c’est à encourager et féliciter. »

Auréole Tchoumi, Journaliste