Auteur d’un scandale de tribalisme à ciel ouvert à l’Université Catholique de Yaoundé en 2012 avant d’être chassé du rectorat, a révélé ce jeudi le journaliste Sismondi Barlev Bidjocka, le Prêtre jésuite s’est réfugié un petit moment à l’étranger, d’où il déversait au quotidien sur les réseaux sociaux une haine tribale calibrée au venin de serpent, de retour au pays depuis un moment pour accompagner son mouvement préféré le MRC, persuadé que Biya très vieux va bientôt quitter la scène.
Ce jeudi 15 octobre, revenant sur l’actualité autour de ce prêtre Jésuite qui a décidé de faire Douala-Yaoundé à pied pour revendiquer entre autre, « l’expression des libertés politiques », la chronique quotidienne de Sismondi Barlèv Bidjocka a été consacrée au prètre Ludovic Lado, intitulée « Un prêtre tribaliste aux mains de la police ». C’était cependant malgré lui. « À dire vrai, ça m’ennuie prodigieusement de consacrer tout une chronique sérieuse à un tel individu », a-t-il avoué plus d’une fois dans son texte. A en croire le journaliste, le prêtre Lado ne mériterait aucune attention particulière qui lui donner de la visibilité. « Pour ce prêtre qui se dit Jésuite, le projet ne s’arrête pas au déracinement de l’homme lion; il faut dans un second temps que le remplaçant soit un enfant du village », a noté le Promoteur de RIS Radio. Ci-dessous, l’intégralité de sa chronique.
Un prêtre tribaliste aux mains de la police Le prêtre Ludovic Lado qui a entamé hier une marche entre Douala et…
Publiée par Barlev Sismondi Bidjocka sur Mercredi 14 octobre 2020