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Mondial 2022 : « Je ne dis pas qu’il faut le tuer », face à la tourmente, Djamel Belmadi nuance les propos tenus à l’encontre de l’arbitre Gassama

Le sélectionneur Djamel Belmadi a multiplié des sorties au vitriol contre l’arbitre Bakary Gassama, après l’élimination de l’Algerie en barrages pour la Coupe du Monde.

Interrogé par la chaîne de la fédération, Belmadi avait une fois encore menacé l’arbitre gambien : « On ne laissera plus jamais 2/3 personnes conspirer contre nous. Aucun arbitre ne viendra mettre à mal tout un pays. Quand j'ai vu cet arbitre assis au salon de l'aéroport le lendemain prendre un café comme si de rien n'était...j'ai pris l'avion, je l'ai vu en Turquie pour lui dire ce que je pensais. Nous, quand on va en Afrique, on n'a pas les mêmes faveurs. On vole les espoirs de tout un pays et on le laisse comme ça... Je ne dis pas qu'il faut le tuer. Mais on ne va plus accepter ce genre de situation. Si Dieu le veut, qu'on revive encore de nouvelles émotions positives. Les joueurs je les félicite, mais on devra faire beaucoup mieux. Tout le monde. Moi, le staff et c'est ce qu'on va faire », avait-il fulminé.

Sauf que les propos tenus par le technicien algérien ont créé une très grosse polémique. Très critiqué, Djamel Belmadi a fait une mise au point.

« Je dis bien ‘je ne dis pas qu’il faut le tuer’, et là on est resté bloqué. Mais c’est une expression, s’est défendu le technicien sur RMC. C’est comme quand on vous reproche éternellement un petit truc banal et que tu dis ‘c’est bon je n’ai tué personne’. C’est exactement dans la même lignée. Bien sûr qu’on est contre la violence, ce n’est pas ce que je dis, c’est évident. Mais quand je dis qu’il était confortablement installé, il y avait un côté ‘je nargue’. »