Il se résume à L’INTIMIDATION, L’HUMILIATION et au TRAFIC D’INFLUENCE: Notre Ngando Pickett a été humilié hier par la Fédé avec cette vidéo, de façon subliminale au meilleur des cas.
Comment peut-on traîner ce papa dans la boue avec tous ce qu’il a rendu au Cameroun comme service ? Pour combien même ? Pour combien de francs CFA est-ce qu’on impose à ce vieux de faire une vidéo pour essayer de se contredire ? A-t-on pensé à ses enfants ? Pourquoi des camerounais (hommes de médias que je respectais) s’agitent sur la toile pour publier cette fausse vidéo qu’ils ont appelée démenti, alorsqu’ils savent pertinemment que CFOOT a fait un boulot rigoureux ? À qui profite le crime ? Est-on obligé désormais de faire l’Atalakou au président pour revendiquer un droit ? C’est quoi cette nouvelle république ? Des Ngando Pickett, il y en a plein aujourd’hui dans notre football, c’est à dire des gens qui sont contraints au silence ou à l’atalakou (au président), malgré les injustices qu’ils subissent. Les Lions indomptables, les Présidents de clubs, les arbitres, les partenaires de la fédé, les employés de la Fédération, tous traînent des frustrations, mais ne peuvent malheureusement pas parler, au risque de devenir ennemis publics. On a vu une dame faire une lettre non-sense dernièrement pour adresser sa démission au patron d’une organisation différente de celle de laquelle elle voulait démissionner. Ces derniers jours c’est Njalla Quan qui a « bouffé la tontine » parcequ’il a osé parler, aujourd’hui c’est notre Ngando National qu’on humilie parce que la lettre qui a fuité égratigne la fédération et son président. NON… On ne peut pas manipuler et museler les camerounais à ce point. Contraindre les gens au silence ne nous avance en rien. Il faut que la FECAFOOT et ses dirigeants arrêtent avec la manipulation, l’intimidation et le trafic d’influence, et qu’ils résolvent les problèmes du football. Il y va du bonheur de tous les camerounais.
Alain Denis Ikoul, analyste sportif
