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Affaire Georges Gilbert Baongla : Saint-Eloi Bidoung demande à Paul Biya de sortir du mutisme pour dire la vérité aux camerounais

Saint-Eloi Bidoung

Saint-Eloi Bidoung, militant engagé du RDPC, et 1er adjoint au Maire de Yaoundé VI, s’invite ans l’affaire de Georges Gilbert Baongla, il demande au chef de l’Etat de sortir du mutisme en disant la vérité aux camerounais.

237 actu.com vous propose lecture intégrale du texte de Saint-Eloi Bidoung

Paternité de George Gilbert Baongla : Saint Eloi Bidoung Militant Rdpc confesse au nom du père, du fils et de la République Que son père nous dise !

Depuis plus d’une dizaine d’années, un enfant abandonné crie dans la rue, dans les journaux, à la radio et à la télé que son père, c’est le Président de la République du Cameroun non celui autoproclamé qui subit le même sort que lui, mais Paul Biya, Président de la république du Cameroun. Enfant jeté dans la rue pour filouterie de loyer, Trainé de commissariats en brigade, de brigade en cellules de prisons, Pendant 10 ans Paul Biya ne veut rien dire. Les pleurs de cet enfant fût il bâtard (PND) père non déclaré c’est à dire de père inconnu nous agacent déjà. Que Paul Biya sorte du mutisme, du silence complice et détruise le mur d’indifférence qu’il a dressé et en disant la vérité aux camerounais. Monsieur le Président, vous affirmez, vous confirmez ou vous infirmez, et nous camerounais, on n’en parle plus. On se demanderait comment un parent peut il dormir tranquille, comme un juste ou comme un guerrier de retour d’un champ de bataille alors que son fils n’arrête pas de le revendiquer à son corps défendant à cors et à cris dans la rue comme un chiot errant qui jappe après sa mère. Cela commence à agacer les camerounais, à casser les oreilles d’entendre ces histoires de famille qui ne nous donnent ni à manger ni à boire. George Gilbert Baongla le dit haut et fort et à qui veut l’entendre “Je suis le fils aîné et biologique de Mr Paul Biya, je ne sais pas de quel Président vous me parlez. Moi je vous parle de mon père biologique et non de celui qui dirige la nation…”.

Deux choses l’une ou l’autre, soit ce “ père” est irresponsable, soit c’est le fils qui se trompe dans les galipettes de jeunesse de sa maman. A moins que ce soit cette dernière qui se serait trompé en attribuant la filiation de son fils au plus nanti de ses amants. Mais au fait que ce se passe t-il à la fin dans cette bruyante et suspecte revendication de filiation? Baongla est votre fils oui ou non ? De quoi se mêlent ceux qui veulent infirmer cette filiation? Ont-ils connu Paul Biya dans sa jeunesse? Sont –ils au courant que le magistrat Philippe Akoa oncle de l’autre était le voisin de Paul Biya dans un immeuble à côté de l’ancien aéroport, que Gabriel happy chef du protocole de l’époque et célibataire était très proche de Paul Biya. Mon frère qui fût son camarade me parlait souvent du charme de ce jeune étudiant à Paris. Beau élégant, amoureux des belles chemises, belles vestes, de montres luxueuses de belles cravates, de belles voitures, de belles femmes, briseur et bourreau des cœurs sensibles aux feux de l’amour non équipé d’un extincteur. Sont-ils au courant que plusieurs étudiantes d’alors dans la cité universitaire d’Antony en France, aujourd’hui à la force de l’âge, garde des souvenirs émouvants et excitants de ce jeune homme.

A son retour à Yaoundé, les femmes n’avaient d’yeux que sur lui dans les cérémonies selon des témoins. Un “ chaud gars” qui se faisait appelé sous cape « Beau gosse », « bébé hollandais » faussement timide, mais très efficace côté drague. Même dans l’entourage des amies, collègues et copines de Jeanne Irène. Ceux qui contestent que George gilbert Baongla n’est pas son fils étaient-ils dans les virées et galipettes nocturnes de Paul Biya dans la ville de Yaoundé? Assurément non! Aucun n’ayant son âge, ils ne peuvent pas affirmer que ce type ne “ tirait” pas. Et puis il était très méticuleux, selon ses congénères et amis de jeunesse, dans le choix de ses amis. L’efficacité dans la discrétion, quoi! Qui, pour dire que ce jeune garçon qui crie dans les rues n’est pas un de ses…bâtards? C’est peut-être le seul qui a eu le courage de s’en réclamer, A-t-on besoin d’être un expert en ADN pour s’en convaincre ? A moins de nous faire croire que Paul Biya était une poule mouillée qui s’enfuyait en criant au diable quand il voyait une fille. Ce qui d’ailleurs, comme nous l’avons vu, n’est pas vrai. Mais alors qu’est ce qui ne va pas dans cette histoire de George Gilbert Baongla?

L’urgence d’une confirmation ou d’un démenti. Seize plaintes pour l’instant ont été enregistrées à la Police judiciaires contre “ le fils du président de la République”. Et ce n’est pas fini! La plus sympathique de ces plaintes porte l’accusation d’escroquerie. Les autres vont chercher dans les chantages, escroqueries aggravées, faux et usages de faux, abus de confiance et des filouteries diverses et variées. En attendant d’autres, annoncées et en préparation, qui nous amèneront vers des usurpations de titres, chèques sans provisions, port illégal d’arme et d’arnaques diverses dont certaines non divulgables en public. Un journaliste de mes connaissances en veut personnellement et durement à ce “fils de chef d’Etat” qui lui a raflé toutes ses économies contre une promesse d’emploi de cadre à la Société nationale des hydrocarbures. Cela fait 11 ans que le fils de Biya le menace de prison, s’il continue de perturber sa sieste. Sauf si ceux qui veulent la place de Paul Biya veulent jauger sa capacité à porter des coups. Wait and see, and de game goes on, et ça, ça va se savoir.