L’élément factuel qui concourt à l’expression affichée de L’Union générale des travailleurs du Cameroun (UGTC) a vouloir le report de l’élection présidentielle 2018 est la crise anglophone qui secoue les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest
De ce fait, la centrale syndicale appelle les neufs candidats en lice pour la présidentielle à « trouver un terrain d’accord, pour procéder au renvoi du scrutin du 7 octobre 2018 »
Au regard de la situation actuelle, il serait judicieux de résoudre d’abord la crise qui paralyse cette partie du pays depuis la fin de l’année 2016.
Pour y parvenir, l’UGTC «compte sur le patriotisme des candidats à l’élection présidentielle pour déterminer les modalités du renvoi de ladite élection et se propose de faire partie des médiateurs pour ramener la paix sociale dans les deux régions particulièrement concernées».