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Retrait de la Can 2019 au Cameroun : Paul Biya connaît désormais ses vrais ennemis

 

Le retrait du Cameroun de l’organisation de la CAN 2019, montre à l’échelle internationale, des actes négatifs posés par certains responsables camerounais, des vrais ennemis de la politique de développement du président Paul Biya, par exemples : le retard de construction des stades, des hôtels, des routes et de détournement de fond pour les besoins de la cause, si j’ai bien compris.
Le mal est fait, mais, c’est au président Paul Biya, de trouver rapidement les solutions, afin de réinjecter du dynamisme dans sa gouvernance, et pour l’intérêt du Cameroun.

Il s’agit de mettre au cœur de ce nouveau dispositif des Camerounais compétents, parce qu’on ne construit pas un pays avec les traîtres médiocres.

Pour nous, les solutions pour le Cameroun qui viennent sont :
• Couper les branches pourries
• Former une nouvelle équipe gouvernementale, avec une feuille de route extrêmement précise
• Créer un mécanisme de contrôles des travaux à réaliser sur le terrain avec le respect des délais
• Faire tous les quatre mois le bilan de l’avancée ou non des grands travaux de l’Etat
• Régler les problèmes du peuple camerounais au quotidien et sans violence, aucune
• Rétablir une justice citoyenne, et de punir par les lois républicaines les Camerounais qui ne les respectent pas
• Rétablir la peine de mort, car il est inadmissible qu’un Camerounais tue son compatriote et, lui passe des années à dormir dans les prisons du pays
• Lutter contre la corruption et le tribalisme qui s’installe au Cameroun et dans la diaspora

A l’inverse la solution pour l’épanouissement du Cameroun qui vient, n’est nullement pas dans la division des Camerounais, dans la violence faites aux civils, aux représentants de l’église, aux journalistes, intellectuels et aux activistes.
Le président Paul Biya et son équipe au pouvoir doivent, plutôt écouter les messages de ces Camerounais et voir ce qu’il faut faire pour le pays, parce que les revendications de ces Camerounais depuis des années sont justifiées.

• Quand les détournements de l’argent public, la corruption, des passes droites, le non-respect des droits de l’Homme, l’insécurité des personnes et des biens, de déficit de justice, des inégalités sociales sont monnaie courante dans le pays, c’est haïr le Cameroun

• Quand les conflits du pays ne sont pas réglés de suite et par le dialogue, c’est haïr le Cameroun
• Quand le peuple camerounais manque de tout, c’est haïr le Cameroun
• Quand certains camerounais hypocrites tiennent des discours endormeurs (tout va bien dans le pays), et flattent le président Paul Biya pour leur intérêt, c’est haïr le Cameroun
• Quand les ministres et proches collaborateurs du président Paul Biya, se considère comme étant eux-mêmes devenus, président de la République du Cameroun, c’est pour ne pas avoir à accomplir leurs missions de servir le Cameroun, ils font ce qu’ils veulent, c’est haïr le Cameroun.
• Quand certains ministres chargés des dossiers de développement du Cameroun, amis, camarades d’école ou membres de la famille du président Paul Biya, orgueilleux et méprisant, détournent des dossiers et le courrier professionnel adressé au chef d’Etat, c’est haïr le Cameroun
• Quand les mêmes bloquent toute initiative des Camerounais du pays et ceux de la diaspora, pourtant en faveur du développement du Cameroun, c’est haïr le Cameroun

C’est précisément ces comportements hautement négatifs qui ont contribué et contribue à noircir l’image du Cameroun que le monde a vue et voit, c’est à dire un pays qui recule, pour enfin mourir, si rien n’est fait pour stopper cette avalanche de problèmes, d’abord camerouno-camerounais.

Enfin, les Camerounais veulent un président qui les écoute et qui règle leurs problèmes dans la paix, la solidarité et dans l’esprit de responsabilité.
Dans ces conditions, comment voulez-vous que je me taise ?

kamerinfo