×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

Manifestation publique : Le SDF accuse le MRC d’avoir « triché » l'idée de sa grande marche

Jean Robert Wafo, ministre de la communication du shadow cabinet du SDF estime que le MRC a « triché » l'idée de la grande marche initiée par le député du SDF, l’honorable Jean Michel Nintcheu

On dirait que ces deux formations politiques de l’opposition se discutent déjà l'ordre protocolaire des marches initiées pour Jean Michel du SDF ce 23 janvier et le 26janvier pour le MRC

Mais, sauf que trois sous-préfets de Douala ont d’ores et déjà interdit la marche de Jean Michel Nintcheu, président régional du SDF pour le Littoral qui, en principe a lieu ce jour dans la cité économique.

Au moment où nous nous mettons sous presse, les différents lieux de rassemblement, à savoir ; l’Axe-lourd Bepanda, le Rond-point Dakar et la salle des fêtes d’Akwa sont déjà quadrillés par les force de sécurité,et aucune information ne filtre sur la position exacte de l’initiateur de la marche, le tonitruant député SDF Jean Michel Nintcheu

Le MRC a pour sa part engagé des procédures pour obtenir auprès des autorités administratives des récépissés de manifestations publiques sur toute l’étendue du territoire national le samedi 26 janvier. Rendu à ce jour, un seul récépissé a été décroché par le parti de Maurice Kamto.

En effet, le récépissé délivré par le sous-préfet de Bafang, dans le département du Haut-Kam, région de l’Ouest, évoque plutôt une manifestation « pour sensibiliser les populations sur les inscriptions sur les listes électorales »

Maurice Kamto, le 15 janvier dernier lors de la cérémonie de vœux organisée au sein du quartier général de son parti politique à Yaoundé s'est dit déterminer à continuer son programme de résistance,

Il a annoncé une série de manifestations pour dénoncer la gestion calamiteuse des affaires publiques. Parmi les principales revendications, on retrouve la dénonciation du Hold-up électoral lié au dernier scrutin présidentiel.

Même sans autorisation, Maurice Kamto s'est dit prêt à affronter les autorités policières « Et si on devait nous tuer à cette occasion, on nous tuera tous. Et si je devais être seul, qu'on me tué moi », a-t-il déclaré au cours de la même cérémonie