L’annonce été faite par le ministre camerounais de l’emploi et de la formation professionnelle Issa Tchiroma Bakari le 8 mars dernier.
Ces financements sont pourvus dans le cadre du Contrat Désendettement Développement (C2D), qui est un mécanisme de réduction de la dette vis-à-vis du gouvernement français, dont a bénéficié le Cameroun à la faveur de l’atteinte en 2006, du point d’achèvement de l’Initiative pays pauvres très endettés (PPTE).
Les futurs centres de formation professionnelle d’Edéa et de Douala vont former de nombreux jeunes dans les métiers en rapport avec la maintenance industrielle, le transport et la logistique, la pâtisserie, l’agro-industrie, ou encore la boucherie, etc.