Francis Mveng appelle Paul Biya à quitter le pouvoir en 2025. Il insiste sur la nécessité de renouveler la gouvernance, d’apporter des idées neuves et de permettre aux jeunes de s’exprimer. Selon lui, le pays doit tourner la page pour progresser, et il est temps que le président passe le relais.
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2025:
POURQUOI LE PRÉSIDENT PAUL BIYA DOIT PRENDRE SA RETRAITE
43 ans au pouvoir. 93 ans. Une longévité politique sans précédent, mais à quel prix pour le Cameroun ?
En octobre 2025, notre pays a l’opportunité historique de tourner une page. Pas par haine, pas par revanche, mais par devoir envers les générations futures.
43 ans, c’est une vie entière !
Durant ce règne sans partage, combien de jeunes sont restés sans emploi ? Combien de régions ont sombré dans le chaos ? Combien de promesses jamais tenues ? Le pays stagne pendant que le monde avance. Qu’est ce qui marche dans ce pays ? Voici 7 ans que le pays est abandonné, gouverné par hautes instructions, très hautes instructions, très très hautes instructions, hautes directives etc…
Aucun remaniement ministériel, même les ministres morts n’ont pas été remplacés.
Tout le monde sait que les requins du RDPC et son entourage le motivent à se présenter pour continuer de jouir et piller le pays par procuration.
93 ans, c’est l’âge du repos, pas de la gouvernance !
Il ne s’agit pas d’un manque de respect, mais d’un appel à la sagesse. Le leadership national n’est pas une affaire de survie politique, mais de vision, d’énergie et de renouveau. Le Président Paul Biya c’est pratiquement 55 ans entre les fonctions de Secrétaire Général à la Présidence, Premier Ministre et Président de la République.
Aucune nation ne se développe dans l’immobilisme!
Le Cameroun a besoin de sang neuf, d’idées nouvelles, de dirigeants connectés aux réalités du peuple. Continuer avec les requins et l’entourage de Paul Biya qui gouvernent en son nom, c’est confisquer l’avenir de millions de jeunes.
Le patriotisme, ce n’est pas applaudir éternellement un seul homme!
Le vrai amour pour le Cameroun, c’est oser dire : MERCI, PRÉSIDENT, MAIS IL EST TEMPS DE PASSER LE RELAIS.
Octobre 2025 doit être un tournant, pas un éternel recommencement.