Une vidéo montrant Sam Severin Ango en train de se battre est devenue virale sur les réseaux sociaux.
Seulement, cette bagarre ne date pas d’aujourd’hui, mais de 2024. Le journaliste, devenu militant du RDPC, le parti présidentiel, accuse ceux qui ont partagé cette vidéo de vouloir ternir son image et annonce son intention de poursuivre en justice les auteurs de ces pratiques.
Lire la sortie de Sam Severin Ango
La série de vidéos largement distribuées par des internautes et autres consommateurs des dérivés déversés dans les réseaux sociaux résulte d’un mélodrame. En me réservant le droit d’engager des poursuites dans les tout prochains jours à l’endroit des auteurs de ces pratiques malsaines, j’informe la communauté nationale et internationale que cette situation est parfaitement connue des autorités judiciaires, politiques et administratives de la région du Sud, au Cameroun, depuis plusieurs mois.
C’est la résultante d’un phénomène surréaliste, qui paraît insoluble pour certains, mais dont pourtant des instruments existent pour qu’en sortent des règlements définitifs, comme dans un État de droit. Aujourd’hui, je défend la République, et ses fondements, voilà pourquoi je me suis abstenu de toute forme d’affrontements, face à la bravoure d’une dame, Française, qui bafoue les codes, dicte sa loi, et sème la zizanie, en totale impunité et en toute allégresse, dans une partie du territoire camerounais.
Ce jour là, Fin 2024, alors qu’elle a déjà pris possession des lieux, dans une bravade incroyable, je choisis de m’y rendre, un dimanche, seul, pour y récupérer une photographie de ma défunte mère qu’elle avait jetée derrière les poubelles. Elle avait bien préparé son coup.
J’étais encore en route, qu’elle avait déjà allumé son téléphone, et alerté son gardien.
Voilà la vérité.
Devant une foule médusée, je me suis fait bloquer l’entrée de ma propre concession de naissance.
Par la suite, ce même jour, elle fera venir une escouade de la police judiciaire, disant qu’elle s’est fait agresser,elle.
Cette affaire est pendante en justice dans l’attente des conclusions.
Ces faits ne sont pas nouveaux, dans le déroulement des séquences à scandale affectionnées par le personnage.
Il règne indéniablement un climat de non droit au cœur de la série à répétition, où le surnaturel se mêle au paranormal.
Passés les soubresauts de mon dernier voyage français manqué, elle a à présent entrepris de ramener sur la scène de vielles images dégradantes stockées dans son téléphone dans le but de nuire à ma réputation tout à fait impunément à l’aide d’influenceurs commis à la tâche alors même que j’ai résolu d’éviter totalement de croiser son chemin, sachant qu’elle occupe illégalement mes propriétés.
Dans quel pays au monde laisse-t-on prospérer de telles situations?
*Tout se passe comme si la petite société qui abrite ces événements est sous hypnose, incapable de sursaut, où l’injustice et l’horreur s’imposent face à la raison, à la décence*.
Et, dans une logique cameroinaise où l’environnement est pris par l’indifférence et les mauvais coups, plus personne n’a l’assurance d’être protégé.
Tout est à l’abandon.
On peut détruire une vie, une destinée ,une Famille, personne ne lèvera le petit doigt, à l’autel de petites compromissions.
Si je reste sur la terre des hommes, je continuerai mon combat pour l’avènement d’une société juste, égalitaire, et surtout respectueuse de ses règles établies.
Sam Severin ANGO
