Présidence de la république: Maurice Kamto pourrait (aussi) prêter serment

Le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc) entend prêter serment ce 6 novembre 2018 devant le peuple camerounais.

C’est sous haute tension que va se dérouler la cérémonie de prestation de serment de Paul Biya, candidat déclaré vainqueur de l’élection présidentielle du 7 octobre dernier, par le Conseil Constitutionnel. Outre cette prestation de serment prévue devant les députés, représentants du peuple, une autre est prévue cette fois-là devant le peuple lui-même.

Maurice Kamto, président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) qui continue de revendiquer la victoire de cette élection, entend prendre solennellement fonction devant le peuple au cours d’une cérémonie grandiose à l’esplanade du stade omnisport de Yaoundé.

Pour prendre part à cet événement, des délégations de partisans du héros de l’affaire Bakassi, sont parties de plusieurs régions du Cameroun. Toutefois, le doute plane sur la tenue de cette autre prestation de serment. Un imposant disposant sécuritaire a été déployé pour faire échec à ce projet du nouveau leader de l’opposition au Cameroun.

Partager l'article:
Étiquettes:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans la même catégorie:

Les évêques camerounais lancent un appel à l’espoir et à l’unité nationale. Depuis Buea, les évêques du Cameroun ont adressé un message fort au peuple

Le tribunal militaire rechigne à considérer les arguments de la défense. Le Tribunal militaire de Yaoundé a tenu une audience ce 11 novembre. Au cours

Le maire de Banka se ravise et autorise les festivités du RDPC à la place des fêtes. Le maire de la commune de Banka, Joseph

Ce mercredi, les partisans du président Paul Biya vont célébrer le 42e anniversaire de son accession à la présidence. Dans une circulaire datée de fin

Dans son édito publié dans Mutations le 22 octobre 2024, George Alain Boyomo aborde le retour du président Paul Biya après 45 jours d’absence pays.

Le tribunal de première instance de Kaéle, de l’Extrême-Nord, a débouté Robert Kona dans sa plainte contestant le congrès de mai 2019 qui avait porté