Face aux hommes de médias samedi dernier, Brice TCHAKOUNTE, promoteur du Salon Africain de l’Education, a fait le point sur la deuxième édition.
Le jeune entrepreneur a ainsi eu occasion d'exprimer sa gratitude à l’endroit de Célestine Ketcha-Courtès, Ministre de l'habitat et développement urbainMounouna Foutsou, Ministre de la Jeunesse et de l'éducation Civique, pour leur implication dans ce grand rendez-vous de rencontres, d’échanges et de partages entre les pouvoirs, les institutions, et les jeunes sur les questions d’éducation, qui se tiendra du 22 au 29 octobre à l’esplanade de l’hôtel de ville de Yaoundé.
Extrait :
On ne saurait parler du Salon Africain de l’Education ou encore SAED, sans faire en prémices allusion à deux figures de référence. Je vais citer ici Mme le MINHDU que vous connaissez tous, la Mère Célestine KETCHA, et Monsieur le MINJEC, S.E MOUNOUNA FOUTSOU. Ces deux personnalités ont cru au projet avant même qu’il ne naisse. Ils ont cru que la jeunesse était capable de faire quelque chose de bien et ils ont décidé d’être aux côtés de cette jeunesse. J’ai été très surpris, avec toute mon équipe mobilisée et les milliers de jeunes que constitue la JUSA, de voir deux membres du Gouvernement être disposés à retrousser les manches, même lorsque cela ne révèle pas de leurs compétences, pour accompagner la jeunesse.
Vous savez à travers mes activités je courtois beaucoup de membres du Gouvernement, mais ces deux là sont particuliers et chaque fois que j’aurais l’occasion de le dire, je n’hésiterai pas une minute. Même devant d’autre membre du Gouvernement je n’hésite pas à le dire. Pendant que nous somme entrain de tenir cette conférence de presse à Yaoundé, c’est une drôle de coïncidence, mais les deux actuellement sont à l’Ouest pour faire honneur à la jeunesse. Le Ministre de la jeunesse est allé clôturerles activités organisées par la Fondation Ketcha dans le cadre du YouthConnekt Cameroun. Renseignez-vous sur les retombés de ces activités, c’est incroyable.
J’ai envie de dire à ces deux artisans du SAED, merci infiniment d’avoir cru à la jeunesse, de continuer de croire, car cette jeunesse là vous honorera et honorera notre cher et beau pays le Cameroun. Quand c’est bon il faut le reconnaître, avec ces deux là, il y’a rien à dire, c’est bon. Ils ont un amour profond pour notre pays, un désir incroyable de voir la jeunesse émerger. A mes frères jeunes du Cameroun et de la diaspora, j’ai envie de dire, saisissons cette opportunité de travailler avec eux quand il est encore temps. Car ces deux là, représentes pour la jeunesse une opportunité à saisir.
