Pour désarmer ses détracteurs, Samuel Eto’o dévoile une partie de son patrimoine de Bonanjo.
Longtemps considéré par certains comme ruiné, Samuel Eto’o est déterminé à déconstruire les faux discours autour de sa situation financière. La légende du football camerounais, souvent victime de rumeurs infondées, souhaite prouver à tous que ses années de succès sur le terrain ont également été fructueuses sur le plan financier. Bien que certains aient affirmé qu’il n’a pas su bâtir un empire immobilier digne de son statut, l’ex-goléador est prêt à montrer le contraire.
Il y a quelques jours, Samuel Eto’o a ouvert les portes de sa somptueuse villa située dans la magnifique cité balnéaire de Kribi, un endroit qui semble tout droit sorti d’un rêve. Longtemps critiqué par des détracteurs qui le décrivaient comme un homme « ruiné », l’ancienne star du FC Barcelone démontre une fois de plus qu’il a pieds au sol.
À l’apogée de sa carrière, Samuel Eto’o gagnait un salaire annuel d’environ 20 millions d’euros à Anzhi Makhachkala. En 2011, à seulement 30 ans, il avait opté pour une retraite dorée dans le championnat russe, savourant les fruits de ses efforts comme peu de footballeurs peuvent le faire.
Seulement, à peine quelques années après sa retraite, des rumeurs persistantes ont commencé à remettre en question sa santé financière. Ses détracteurs l’ont décrit comme un homme en déclin, en proie à des difficultés financières.
Samuel Eto’o a décidé de se rendre à Bonanjo, en plein cœur de la ville de Douala, où il a pris des photos à côté d’un de ses immeubles. Accompagnée de la légende, « Petit tour chez certains de mes locataires à Bonanjo. Le bonheur se partage », cette publication représente un autre message fort de Samuel Eto’o à l’endroit de ses détracteurs.
En exposant ses biens et en affichant sa réussite, Samuel Eto’o prouve qu’il est bien plus qu’une simple légende du football : il est un homme d’affaires avisé qui a su tirer profit de ses succès sur le terrain pour bâtir un avenir prospère. Pour lui, il ne s’agit pas seulement de rétablir la vérité, mais aussi de se positionner comme un exemple à suivre pour la jeunesse camerounaise et africaine.
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