Selon le journal L’Anecdote d’Amougou Belinga, le casseur des ambassades, « général El Chenou » a demandé pardon au peuple

Général El Chenou

A en croire ce journal dans sa livraison du lundi 23 septembre, « le casseur en chef des locaux de l’ambassade du Cameroun en Allemagne, le « général El Chenou », a demande pardon au peuple camerounais.

Dans une publication qu’on lui attribue sur les réseaux sociaux, le général El Chenou, se livre à une sorte de repentance. « Je m’excuse d’avoir organisé les casses contre les Ambassades de mon pays. Puisque nous voulons la paix et la réconciliation, ça ne sert à rien de continuer de mettre à mal notre pays », lit-on dans cette note dont 237actu.com ne peut garantir l’ authenticité.

Mais le journal L’Anecdote croit savoir que la publication est bel et bien de général El Chenou. Le Tri hebdomadaire rappelle que les camerounais font la connaissance de ce dernier 26 janvier 2019 à travers les réseaux sociaux.

Ce jour-là, developpe le journal,une cinquantaine de manifestants se présentant comme des opposants au président de la République, après avoir sauté les grilles défonce la porte de l’ambassade du Cameroun. Ils envahissent les locaux de la représentation diplomatique . Ceux-ci saccagent, pillent et vandalisent les bureaux et portraits de Paul Biya. Parmi ces derniers, un certain « général Kamdem » dit El Chenou, prend position sur le fauteuil de l’ambassadeur. Au passage, il arrose le portrait du président de la République de pisse.

« Depuis ce week-end, le « terroriste » habillé en tenue militaire et qui a pris la tête des vandales qui ont troublé le séjour du couple présidentiel en Suisse au mois de mai dernier, se livre à un repentir tardif. « Je m’excuse d’avoir organisé les casses contre les ambassades de mon pays. Puisque nous voulons la paix et la réconciliation, ça ne sert à rien de continuer de mettre à mal notre pays » écrit le journal.

« Aujourd’hui, couché sur un lit d’hôpital, le chef de gang des « terroristes » de la BAS-MRC invite tous les membres de sa « brigade » à laisser tomber toute la tension et surtout, se rend compte enfin qu’on ne défie pas un Etat en saccageant ses institutions », conclut Anecdote

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