Cette affaire qui ne cesse de faire des remous actuellement pourrait bien inspirer un livre voire un thriller hollywoodien, parce qu’elle regorge en son sein un certain nombre d’incohérences et de décisions judiciaires sujette à questionnement. Entre corruption, intimidation, népotisme, trafic d’influence, cette affaire qui met aux prises une pseudo belle famille et un beau-fils qui, visiblement n’est coupable à cause du simple fait d’avoir voulu être un fils modèle voire un mari modèle s’est transformée en une chasse à l’homme incompréhensible.
Lorsque le sieur Djoiandeu faisait la rencontre de celle qui est à l’origine de ses déboires aujourd’hui en 2014, rien ne pouvait présager qu’en ce moment, il ferait l’objet de tant de deboires judiciaires. En effet, la règle selon laquelle il faut se renseigner sur la famille dans laquelle on vient prendre épouse n’a pas été respectée par ce dernier, qui d’ailleurs rumine de forts regrets à propos. Djoiandeu puisqu’il s’agit de lui fait la rencontre de son “épouse” dans son lieu de service. Tout de suite, l’idylle se crée et quelques années plus malgré quelques gros soucis qui auraient dûs certainement l’alarmer, ils se marient. Cependant, les problèmes vont connaître une ascension fulgurante avec l’arrivée dans leur vie du principal protagoniste de cette cabale en la personne de Kwedi Jean Hubert Flavien. Ce haut gradé d’une entreprise publique camerounaise, la douane pour ne pas la citer fait la pluie et le beau temps dans cette famille et c’est bien évidemment ce dernier qui se donne le titre de beau papa pour l’épouse Djoiandeu. Véritable étalon, il multiplie les forfaits et est accompagné dans cette besogne selon Djoiandeu par sa concubine Me Bisseck Clementine. De fil en aiguille, le sieur Djoiandeu va subir l’omniprésence de sa belle famille dans son couple à un tel point que de nombreuses situations malheureuses et désastreuses vont survenir dans sa vie. On peut citer entre autre le fait que ce ” pseudo beau père” se soit accaparé de toutes les cérémonies liées à son mariage et par conséquent sa trop forte implication dans les affaires du couple. Cette situation ira donc de mal en pire…
Début des péripéties…
L’adage qui dit qu’un malheur n’arrive jamais seul va prendre tout son sens à partir de 2018. En effet, c’est au cours de cette année que de nombreux événements vont s’enchaîner pour Djoiandeu notamment la maladie de son fils, fruit d’une relation avant mariage, lui même, son état de santé va se détériorer le rendant squelettique. On parlera d’empoisonnement. D’ailleurs au soir de mars 2022, en rentrant d’une mission, il découvre que son épouse est partie avec les enfants. C’est ainsi qu’un constat d’abandon de foyer conjugal sera mis en place. Il s’en suivra des accusations multiples de la part de son épouse qui estimera qu’il ne l’aimais plus comme elle l’aimait. D’autres accusations rejaillissent comme quoi il serait responsable de la tumeur de son fils mais aussi le fait qu’il privait sa femme de liberté et bien d’autres choses encore.
Dans cette course folle ayant pour objectif principal de nuire au sieur Djoiandeu, la veille famille avec le fameux capitaine de Douanes à la bavette va enclencher une grosse campagne judiciaire sans précédent. Résultats des courses: une vingtaine de plaintes aussi louffoques qu’impensables qui démontre clairement que ce dernier n’a pour seul leitmotiv que la destruction de son “beau-fils”. Dans cette litanie de plaintes figure en bonne place dans les tribunaux de Yaoundé et de Douala des accusations de meurtre infondées. Au demeurant, il faut noter que cette accusation insensée et morbide s’est que pure affabulation car, la certification de genre de mort parle d’une autre cause de mort et pourtant, il a été accusé d’avoir roué la personne décédée de coup de poing. En plus, ils portent un dossier d’accusation où un document l’accusé et un autre l’innocente. Incroyable pourrait-on dire n’est ce pas ?
Une justice injuste en perspective ?
À la lecture d’une telle affaire, on pourrait se risquer à répondre par l’affirmative à cause d’un certain nombre d’informations probantes qui démontrent à suffire que la justice dans le cas d’espèce est instrumentalisée ou n’a pas été dite comme il se doit. Sinon, comment comprendre qu’une plainte soit faite contre le sieur Djoiandeu pour destruction d’une vitre d’un véhicule de marque Toyota Yaris et menacé par le sieur Kwedi Jean Hubert représente par le cabinet de Me Bisseck Clementine qui, selon des informations tirées à bonne source serait sa concubine,pourtant les preuves attestent de sa non présence sur les lieux de l’incident, pire encore il est question qu’il paye la rondelette somme de 30 millions de francs CFA. Si ce n’est pas un acharnement et une volonté de nuire, comment pourrait-on appeler cet état de chose?
Autre incongruité criarde qui est la démonstration d’un sérieux malaise dans nos instances judiciaires: l’ex-employée du sieur Djoiandeu appelée Dame Lobe Ekindi Patience Émilienne lui avait servi une citation directe prétextant qu’elle avait été menacée par ce dernier a la gare routière de Bonaberi à Douala. Paradoxalement, la citation lui sera servi à Yaoundé, lieu de son habitation à l’époque des faits pourtant l’affaire a été enrôlée au tribunal de Ndokoti. Et donc, en la matière, il est évident qu’il y’a curieusement un problème. Sinon comment peut-on envoyer une citation directe sur Yaoundé alors que les faits se sont déroulés à Douala et pourtant le sieur Djoiandeu vivait à Yaoundé à cet époque ? Ces deux exemples prouvent à suffire qu’un agenda avait mis en branle pour nuire de manière permanente le Sieur Djoiandeu. Il faut donc s’interroger sur l’intégrité morale des hommes de lois de nos jours. Il apparaît donc clairement que le Sieur Djoiandeu, au vue des faits et accusations portées à son endroit n’est qu’une victime d’une famille qui visiblement est coutumière de tels agissements. Aussi, il ne compte pas abandonner et compte laver son honneur afin que seule la vérité triomphe.
Joseph kono