La question de l’accaparement des terres est devenue un acte très grave et démoniaque dans notre société actuelle
Je suis un homme de 27 ans originaire de Douala. Mon père possédait de nombreuses propriétés foncières et avait rédigé son testament par l’intermédiaire de l’avocat de la famille avant son décès.
Certains des enfants qui étaient très proches de lui avant sa mort ont eu l’occasion de savoir quoi et comment le testament a été rédigé en faveur des membres de la famille.
Après son décès, l’avocat de la famille a été invité à lire le testament et chaque membre de la famille a pris pleinement conscience de ce qui lui avait été donné. Outre l’appartement de trois chambres qui m’a été donné, j’ai également reçu trois terrains. J’ai également reçu trois parcelles de terrain dont l’emplacement était clairement indiqué.
Malheureusement, lorsque j’ai voulu développer le terrain, j’ai découvert que mon oncle avait fait une grave incursion sur le terrain. J’ai poliment fait comprendre à mon oncle que le terrain m’appartenait en tant qu’héritage de mon père. Il a fait valoir que le terrain avait été acheté en commun et que personne n’avait le droit de répartir le terrain sans son consentement.
De manière surprenante, mon oncle m’a dit plus tard que le terrain en question lui appartenait et que mon défunt père n’avait pas de terre à cet endroit. La dispute entre nous s’est déroulée de manière dramatique et m’a fait l’effet d’un oncle. J’ai décidé de rapporter l’affaire à la famille pour qu’elle soit tranchée.
Le chef de famille et mes frères et sœurs ont convoqué mon oncle et lui ont demandé de cesser de revendiquer la terre en apportant des preuves de sa propriété.
Quelques jours plus tard, j’ai pris la décision d’aller développer le terrain afin de l’empêcher de s’en emparer. Alors que j’arrivais sur le terrain, quelque chose m’a pincé le pied. Je pensais qu’il s’agissait d’une chose ordinaire, mais avant 18 heures, ma jambe a commencé à gonfler, comme si elle pouvait éclater à tout moment.
Je me suis rendu à l’hôpital pour des soins médicaux, mais les douleurs ont continué à augmenter malgré les efforts du médecin. Après plusieurs semaines de douleurs interminables, le médecin m’a conseillé de consulter un spirite car il ne comprenait pas la situation de ma jambe.
Un ami m’a présenté le Dr Francis à la maison spirituelle +237, 654, 522, 583 qui a diagnostiqué la jambe spirituellement et a découvert qu’il s’agissait d’une attaque diabolique. La première question posée par le spirite est la suivante : ai-je un litige foncier avec quelqu’un ? J’ai répondu que non, mais qu’il y avait juste un petit malentendu avec mon oncle au sujet d’une portion de terre héritée de mon défunt père et que l’affaire avait été réglée à l’amiable.
Le spirite m’a dit que le problème venait de là. Il m’a donné un traitement de 7 jours et la jambe a fini par redevenir normale et la douleur atroce s’est atténuée. Je peux maintenant me déplacer librement avec ma jambe sans douleur.
Cependant, le spirite m’a accompagné sur le terrain pour le sanctifier et le purifier, car sans cela, je ne peux pas construire sur le terrain. Trois mois plus tard, mon oncle est venu secrètement me demander pardon pour l’incursion sur le terrain et la façon dont il avait prévu de m’éliminer, mais malheureusement le grigri s’est retourné contre moi.
Je me demandais comment lui répondre au sujet de son acte malveillant. Je lui ai demandé ce qu’il m’avait fait. Mon oncle m’a répondu qu’il avait mis quelque chose dans la terre pour détruire ma vie et que depuis ce jour, il voyait des cadavres autour de lui. Il a vu des cadavres autour de lui, y compris celui de mon défunt père.
J’ai informé les membres de la famille et il a été interrogé sur les aveux qu’il avait faits. Il a confirmé ses dires devant toute la famille qui lui a infligé une amende pour son acte diabolique et des prières traditionnelles ont été faites pour lui pardonner.
Bravo au foyer spirituel du Dr Francis pour m’avoir sauvé des mains de mon méchant oncle qui s’était intentionnellement emparé de la terre pour me tuer.