Un jeune camerounais condamné à mort pour avoir vio.lé deux fillettes

Crédit photo : Panoramapapers

Le verdict a été rendu par le tribunal de grande instance de nkongsamba dans le département du moungo après 5 bonnes d’attente, apprend-on.

L’affaire remonte au mois de mars 2018. Un certain Joël tamkoua parti rendre visite à son cousin à nkongsamba, n’a pas pu résister à l’attirance sexuelle de ses deux fillettes âgées respectivement de 7 mois et de 7 ans. Le propriétaire des lieux parti à un deuil avec son épouse , Joël tamkoua en avait profité pour commettre sa sale besogne,violant les deux fillettes jusqu’à ce que mort s’en suive.

Un collectif d’avocats s’etait saisi du dossier pour que justice soit rendue pour cette infamie. 5ans plus tatd Le tribunal de grande instance de nkongsamba a tranché .Ce sera la peine de mort par fusillade et une amende de 92 000. 000 de Cfa à verser pour réparation, rapporte nos confrères de Panoramapeper

Rappelons que le code de procédure pénal camerounais maintient la peine de mort, en particulier pour les infractions liées au meurtre, assassinat, terrorisme. Personne ne soit passé au pelonton d’exécution depuis 1986. Plusieurs individus sont toujours sur le couloir de la mort. Le Cameroun n’a toujours pas ratifié le deuxième Protocole facultatif sur l’abolition de la peine de mort (PIDCP-OP2).

Partager l'article:
Étiquettes:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Dans la même catégorie:

L’information a été donnée par le journaliste Bouba Ngomna sur le plateau de l’émission canal presse sur la chaine de télévision canal2 international émettant depuis

Dans sa mission principale de défense des droits de l’homme, il était plus que temps pour la commission des droits de l’homme du Cameroun (CDHC)

237actu.com apprend la libération de l’abbé Mbaïbarem après une semaine d’enlèvement. L’abbé Valentin Mbaïbarem, curé de la paroisse Saint Jean Baptiste de Madingring, a été

Quelques jours après le drame horrible qui a couté la vie au petit mathis, la réaction du gouvernement était attendue. C’est désormais le cas avec

L’écrivaine camerounaise dans une envolée lyrique dont on lui connait estime clairement que la fille du présumé auteur du crime crapuleux devrait faire profil bas.

L’homme en tenue tue sa femme après des menaces et violences répétées. Bertrand Essomba, officier de police de 2ème grade en service au commissariat du