Valery Giscard Djoiandeu est-il victime d’un coup monté par sa belle-famille ou alors il paye le prix de son humanisme voire de son amour pour son épouse ? Autant d’interrogations qui planent quand on voit l’acharnement avec laquelle les décisions de justice sont prises en son encontre dans une affaire qui aurait pu avoir un autre dénouement.
Avec la sortie récente de l’extrait du plumitif sur ladite affaire, il est donc clair qu’un arsenal judiciaire a été mis en action pour définitivement en découdre avec le sieur Djoiandeu. En effet, selon le document en question, le sieur Djoiandeu est accusé de destructions de biens notamment de la voiture de son ex-femme. Le même extrait souligne que « le prévenu même a dit qu’il va casser le véhicule offert par Kwedi à l’épouse du prévenu… ». il est également cité sur cet extrait que le prévenu avait décidé de nuire à la carrière de sieur Kwedi. Un vrai paradoxe. De même, il est aussi écrit que c’est de manière intentionnelle que Valery Giscard voulait nuire à la carrière de ce monsieur qui est douanier de formation. Sur ces chefs d’accusations, le plaignant a donc requis une peine exemplaire. Parmi les décisions prises par le tribunal, on peut citer la condamnation à payer à la soi-disant victime une somme de trente millions de francs CFA qui vont couvrir les préjudices subis, les frais de procédures, frais de justice mais aussi les frais de déplacement du conseil de la partie civile, mais aussi leur repas et la nutrition et le séjour.
Une vraie mascarade judiciaire…
Il est clair qu’à la lecture de ce document mis en œuvre par les autorités judiciaires avec la complicité des plaignants que cette décision est clairement kafkaienne à la lumière de ce qui est dit, et que par la même occasion de nombreuses incohérences s’y retrouvent. Sinon comment comprendre que pour une simple destruction de véhicule, qui dans le fond est à vérifier, on se retrouve à condamner un individu à payer une somme aussi faramineuse.
Sur ce cas spécifique de destruction de véhicule, plusieurs incohérences ont été présenté par la partie adverse en l’occurrence celle de Valery Giscard. En effet, pour ce qui est de l’objet de la plainte : Menaces et destruction des biens, des incongruités criardes ont été observées. En effet, La plainte datée le 21 juin 2022 a été reçue au SED le 23 juin 2022 réf. 3528/30 vu du chef BFC le 23 juin 2022 (voir cachet sur la plainte). Seulement, dans le procès-verbal de synthèse N° 1397 du 23/06/2022, il est écrit au niveau du préambule que la plainte a été reçue le 21 juin 2022. Ceci concerne principalement le dossier qui a été déposé au secrétariat d’Etat à la Défense. Serait-ce donc une affaire de copinage entre un fonctionnaire des douanes et quelques éléments des forces de l’ordre en service au SED ? La question reste sans réponse. Autre élément important rendant caduque cette décision de justice Le PV d’audition du sieur KOUMA GUIDENG Benjamin au SED, renseigne que ledit témoin allait récupérer un colis chez un de ses grands frères autour de 20 heures lorsqu’il a aperçu le véhicule souvent conduit par le prévenu en train d’être démarré pour partir. Toutefois, dans la plainte, sieur KWEDI écrit que son témoin se rendait plutôt à la réunion qui se tenait au domicile de sa défunte maman et a rencontré le prévu qui revenait du sens Laborex. Autre incohérence criarde, la présence de dame Mbah Epse DJOIANDEU qui déclare que son mari a dit qu’il allait casser cette voiture, paradoxalement, aucune preuve visible ne soutient cette information. Pour ce qui est du tribunal, certains éléments ne corroborent. En effet aucune réaction sur la chronologie des faits, Aucune prise en compte des justificatifs d’absence fournis par le prévenu car il ne résidait plus à Yaoundé depuis le 1er juin 2022. La dite correspondance a été fournie au tribunal d’Ekounou, parmi les deux témoins qui ont été présentés, le deuxième apparait deux ans après les faits. Aussi, Le plaignant déclare à la barre ne pas reconnaitre le contenu du procès-verbal d’audition portant sa signature, n’est-ce-pas bizarre pour une justice qui se veut impartial et juste envers tous ? Autant d’incohérences qui démontrent que cette affaire n’avait qu’un seul objectif : ternir l’image du Sieur Djoiandeu Valery Giscard et le réduire à sa plus simple expression. Il est donc impérieux important que le justice reprenne ses lettres de noblesse afin que des nobles citoyens comme le Sieur Djoiandeu ne soient plus trainer dans la boue par des personnes qui ne recherchent que leurs basses envies ventriculaires,