La victoire de Jean-Marie Abouna, maire de Yaoundé 1er, à la présidence de la section RDPC du Mfoundi 1 lors des opérations de renouvellement des organes de bases de cette formation politique est une pilule amère pour ses adversaires politiques. À coup de montage infographistes, ces derniers sont résolus à prendre leur revanche.
De source bien informée, les adversaires politiques du président réélu de la Section RDPC du Mfoundi 1, et Maire de la commune de Yaoundé 1, ont engagé des professionnels du Photoshop pout ternir son image avec des clichés simulant une scène érotique entre le magistrat municipal et une dame dont l’identité reste jusqu’ici questionnable.
Les informaticiens de Bonass mis à contribution
Les clichés au montage casuistique sont l’œuvre de certains informaticiens du quartier Bonamoussadi à Yaoundé. Sauf que le butin perçu pour exercer le sale boulot se trouve être la pomme de discorde entre ces employés d’un jour.
Des témoins rapportent que les trois informaticiens amateurs commis pour monter des photos truquées du maire Jean-Marie Abouna avec une jeune femme qui s’appellerait Manga Ariane, en positions délicates, se sont livrés à une bagarre pour le partage d'un pactole qu'on dit n'avoir pas été entièrement payé par les commanditaires.
Dans la foulée de cette altercation, les metteurs en scène ont la gueule de bois. Ils disent être prêt à tout dévoiler si les termes du contrat ne sont pas respectés.
Les proches du maire Jean-Marie Abouna quant à eux, s’impatiente à, non seulement voir la victime, mais aussi assister à ce fameux procès dont la plainte aurait été déposée : « Si le maire a violé une fille, on se demande alors pourquoi ce sont les adversaires politiques que Monsieur ABOUNA a sèchement battus au dernier renouvellement des organes de base du RDPC qui, s'activent beaucoup avec cette histoire, au point de se livrer déjà au photoshop, afin de le salir à tout prix. Cela démontre donc que c'est une histoire inventée pour essayer de le disqualifier d'une onction politique populaire au sein du RDPC. Tout le monde comprend maintenant cette odieuse et honteuse calomnie », s'indigne un membre du Comité Central du RDPC ayant requis l'anonymat.
En attendant la suite des évènements, l’on sait désormais qui sont ces serpents qui sifflent sur la tête du maire Abouna.
