C’est un visage bien connu de la scène médiatique et des amphithéâtres depuis une quinzaine d’années. Juriste Publiciste et Enseignant, il avait encore, jusqu’à une période récente le titre de Docteur et le grade de chargé de cours, à la faculté de sciences juridiques et politiques de l’Université de Douala. À la faveur de la tenue de la récente session du Comité Consultatif des Institutions Universitaires( CCIU), Ambroise Louison Essomba est porté au titre de Professeur et au grade de Maître de Conférences.
Le brillant analyste des questions juridiques et politiques avait librement pris une année sabbatique en ce qui concerne ses interventions dans les médias, à l’effet de mieux se concentrer sur ses travaux de recherche.
«Ma carrière est bloquée du fait de mes passages médiatiques. J’ai décidé d’arrêter », déclarait en 2024 le docteur Louison Essomba. Il avait alors pris ses distances avec les médias.
L’on se souvient tout de même qu’en date du 25 Mai 2022, il avait soutenu une habilitation à diriger les recherches ( HDR); ce qui lui conférait le titre de Dr HDR. Cette fois-ci, il faudra désormais l’appeler Professeur HDR, Maître de Conférences.
Digne fils du Mbam et Inoubou, il est depuis 3 ans déjà le Vice-Président du Jury des Awards Nationaux de L’excellence. Un événement annuel organisé par Kaporal Médias Group qui célèbre et récompense le mérite et l’excellence.
Jacques Banyoglog
One Response
Félicitations professeur Louison. ESSOMBA .A.
Que le seigneur vous protège. Penser aussi à moi principalement. Je suis fonctionnaire des douanes camerounaises . préposé des douanes catégorie D, ça fait 19 ans de service sans avancement en grade . Pourtant dans le même corps les préposés ayant obtenu un baccalauréat pendant leur fonction mérite un avancement en grade de brigadier. Les brigadier ayant une licence 2 mérite un grade adjudant, et les adjudants ayant une licence 3 mérite un grade adjudant principal. Mon dossier d’avance de préposé est bloqué pour absence de base juridique, pourtant les autres préposés portent leurs galons. Je ne comprends rien du tout. J’ai l’impression que le droit public que j’apprends à l’université est différent de celui qu’on applique sur les administrés. Je suis dépassé et ne peut que prier pour qu’un jour je puisse jouir de mes prérogatives.
Je vous prie d’agréer mon profond respect.