Les 6 catégories de personnes qui attaquent le MRC à la veille des élections au Cameroun.
À l’approche des élections au Cameroun, une véritable machine de guerre se met en marche contre le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC). Ce parti, qui incarne pour de nombreux Camerounais l’espoir d’un changement réel, fait face à une campagne de dénigrement et de sabotage orchestrée par des groupes aux intérêts convergents : maintenir le régime en place et empêcher toute alternance démocratique.
Ces attaques, loin d’être anodines, sont soigneusement préparées par des acteurs qui, chacun à leur manière, contribuent à la stagnation et au sous-développement du pays. Qui sont-ils ? Pourquoi s’acharnent-ils contre le MRC ? Quels sont leurs véritables intérêts ? Voici les six catégories de personnes qui, par leur cupidité, leur lâcheté ou leur complicité, freinent l’éveil du peuple et tentent d’éteindre l’espoir d’un Cameroun meilleur.
- Les barons du régime RDPC : les pilleurs de la République
Premiers ennemis du changement, les membres du gouvernement et les hauts dignitaires du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) incarnent la faillite du Cameroun. Depuis plus de 40 ans, ces hommes et femmes, qui se sont enrichis sur le dos du peuple, dirigent le pays avec une incompétence effrayante et une arrogance sans limite.
Ils ont transformé l’État en une entreprise familiale où seuls les fidèles du régime ont accès aux ressources. Leur peur du MRC est viscérale : ils savent que l’arrivée d’un nouveau pouvoir signifierait la fin de leurs privilèges et, pour beaucoup, des comptes à rendre à la justice. C’est pourquoi ils utilisent tous les moyens possibles pour salir le parti : répression, arrestations arbitraires, manipulation des médias, corruption à grande échelle… Leur seul objectif est de garantir la continuité d’un système où l’impunité est la règle et où le peuple est condamné à la misère.
- Les intellectuels faussaires : les mercenaires de la propagande
Dans un pays où l’intelligence devrait être au service du progrès, certains « intellectuels » ont choisi de vendre leur plume et leur parole à la dictature. Professeurs, journalistes, écrivains ou pseudo-analystes politiques, ces individus, souvent bien diplômés mais sans conscience, se sont transformés en mercenaires au service du régime.
Leur mission ? Brouiller les esprits, détourner les vrais débats, et entretenir un climat de confusion pour empêcher le peuple de comprendre les véritables enjeux politiques. Ils organisent des débats télévisés biaisés, publient des tribunes mensongères, et alimentent un tribalisme sournois pour diviser la population.
Ce sont eux qui, à travers des discours fallacieux, tentent de faire croire que le MRC est un parti communautariste, qu’il est inapte à gouverner ou qu’il n’a aucune chance de gagner. Pourtant, ces mêmes « intellectuels » évitent soigneusement de parler de la faillite du régime en place. Pourquoi ? Parce qu’ils sont grassement payés pour entretenir cette mascarade.
- Les opposants opportunistes : la traîtrise au service du régime
Dans un pays normal, l’opposition devrait être unie face à un régime dictatorial. Mais au Cameroun, certains soi-disant opposants ont choisi de se battre… contre l’opposition elle-même.
Ces politiciens sans conviction, souvent à la tête de partis sans militants, passent leur temps à critiquer le MRC au lieu de dénoncer la dictature qui étrangle le pays. Leur but est simple : se positionner comme des interlocuteurs « acceptables » pour le régime afin de récolter quelques miettes du pouvoir.
Ils accusent le MRC de tous les maux : incompétence, radicalisme, amateurisme… Mais que proposent-ils eux-mêmes comme alternative ? Rien. Ils ne cherchent ni à conquérir le pouvoir ni à améliorer la vie des Camerounais. Leur seule ambition est de survivre politiquement en collaborant discrètement avec le régime tout en prétendant être dans l’opposition.
- Les chefs traditionnels dévoyés : les traîtres à leurs peuples
Autrefois garants de la sagesse et de l’unité des peuples, certains chefs traditionnels sont aujourd’hui devenus de simples pantins du régime. Installés par les autorités, corrompus par des promesses de privilèges ou terrorisés par la répression, ils ont trahi leur mission sacrée.
Au lieu de défendre les intérêts de leurs communautés, ils se contentent de suivre les ordres de l’administration et de faire campagne pour le parti au pouvoir. Lorsqu’ils ne sont pas réduits au silence, ils sont utilisés pour manipuler les populations rurales, leur faisant croire que voter pour l’opposition serait un acte de rébellion contre leurs traditions.
Leur soumission est un coup dur pour la démocratie, car ils auraient pu jouer un rôle essentiel dans la sensibilisation et l’éveil du peuple.
- Les victimes de la manipulation : les esclaves du tribalisme
Parmi ceux qui s’opposent au MRC, il y a aussi des Camerounais ordinaires, manipulés par la propagande d’État et enfermés dans un tribalisme destructeur. Ils ont été conditionnés à croire que le pouvoir appartient à un groupe ethnique et que toute alternative politique serait une menace pour leur communauté.
Cette illusion est entretenue par le régime, qui utilise le tribalisme comme une arme pour diviser le peuple et empêcher toute révolte collective. Pourtant, ces Camerounais qui défendent le pouvoir en place sont souvent les premières victimes du système : ils vivent dans la pauvreté, n’ont pas accès aux soins, et voient leurs enfants sacrifiés sur l’autel de l’incompétence gouvernementale.
Ils ne réalisent pas que leur véritable ennemi n’est pas le MRC ni un autre parti politique, mais bien le régime qui les maintient dans la misère.
- Les opportunistes du régime : les gardiens de la dictature
Enfin, il y a ceux qui espèrent gravir les échelons du pouvoir en soutenant l’injustice. Fonctionnaires corrompus, magistrats sans éthique, policiers brutaux, militaires zélés… tous ceux qui exécutent les ordres du régime sans se poser de questions sont complices du malheur du pays.
Leur ambition ? Obtenir une promotion, un poste avantageux ou un passe-droit en échange de leur loyauté aveugle. Peu leur importe que leurs actes condamnent des innocents, que leurs décisions brisent des familles ou que leur silence permette la perpétuation d’une dictature meurtrière.
Ces individus sont la colonne vertébrale du régime. Sans eux, la machine dictatoriale s’effondrerait.
Conclusion : Le réveil est inévitable
Ces six catégories d’ennemis du changement s’acharnent contre le MRC parce qu’elles savent qu’un réveil du peuple signerait leur fin. Mais la vérité est simple : aucun système oppressif ne dure éternellement.
Le Cameroun appartient à son peuple, et tôt ou tard, les manipulations, les intimidations et les trahisons ne suffiront plus à contenir l’aspiration à la liberté. Il est temps pour chaque citoyen de prendre conscience de cette réalité, de refuser la soumission et de s’engager pour un avenir digne.
Le Cameroun de demain se construit aujourd’hui. Le changement viendra, avec ou sans ceux qui tentent désespérément de l’empêcher.
Fotsing Nzodjou.