Francis Meli s’affirme de jour en jour avec des documentaires audacieux, captivants le public avec des œuvres qui allient profondeur sociale et esthétique visuelle. Son dernier documentaire, BANGANG, LE SILENCE DES RIVIÈRES, incarne cette quête de vérité et d’émotion, plongeant les spectateurs dans un récit poignant sur l’impact de la disparition des raphias sur les communautés de l’ouest Cameroun, tant culturelles qu’environnementales.
Dans BANGANG, LE SILENCE DES RIVIÈRES, Francis Meli explore les luttes et les espoirs des riverains face aux défis contemporains, notamment la pollution, le changement climatique et l’urbanisation galopante. Le film offre une perspective inédite sur la symbiose entre l’homme et son environnement. Grace à sa bande récemment publiée, le documentaire a suscité des débats fervents
Grâce à une narration immersive et à des images à couper le souffle, Francis Meli parvient à dresser un portrait aussi savoureux que critique de l’interaction complexe entre les habitants et leur milieu naturel, soulignant les traditions ancestrales tout en exposant les défis modernes.
Engagé, Francis Meli utilise le pouvoir du documentaire pour faire entendre les voix souvent étouffées. Il aborde les enjeux cruciaux qui touchent directement les communautés riveraines, utilisant son art pour éveiller les consciences et encourager le dialogue.
BANGANG, LE SILENCE DES RIVIÈRES a tenté de redéfinir notre compréhension des rivières en tant que veines de vie, évoquant l’essence même de l’identité culturelle