L’écrivaine installée en hexagone a désormais une langue très dure contre le MRC et son leader Maurice Kamto.
Elle accuse (sans le nommer) Maurice Kamto qu’elle soutenait encore il y a quelques temps, d’avoir laissé ses partisans déverser la haine dans l’espace public.
«Comment une meute aussi haineuse agissant au nom d’un tiers, peut se déferler sur une seule personne des mois et des mois sans que ce tiers ne dise le moindre mot pour stopper cette machine broyeuse qui agit pourtant en son nom ? Comment rester silencieux sans faire un appel à l’ordre ? », s’interroge Marie Lissouck qui, parlant de Christian Penda Ekoka, « croit qu’il est trop facile de déclarer son amour a un mort qu’on a laissé poignardé sous nos yeux assassins et complice ».
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Le sang versé ne passe pas.
Les têtes percées de la meute pensent que le sang des alliés d’hier, leur servira de tapis rouge les menant au palais. Lieu que leurs pieds ne fouleront jamais le sol. Ni aujourd’hui ni demain.
Le reste c’est dans leurs cauchemars qu’ils prennent pour des rêves. Rêves qu’eux-mêmes ont suicidé à cause de leur cupidité. Oui. À cause de manque de culture.
Bons nombres n’ont jamais lu une page d’un journal et encore moins un livre. Trop occupé à chercher comment tromper les autres. Alors, les yeux ouverts mais sans voir. Et, à force d’arnaquer les autres.
à force de compter l’argent des autres, ils ont tué l’idéologie, en prônant et sublimant le tribalisme qui les ronge.
Comment une meute aussi haineuse agissant au nom d’un tiers, peut se déferler sur une seule personne des mois et des mois sans que ce tiers ne dise le moindre mot pour stopper cette machine broyeuse qui agit pourtant en son nom ? Comment rester silencieux sans faire un appel à l’ordre ?
Le Cameroun ne sera jamais dirigé par des mercenaires. Jamais.
Trop facile de déclarer son amour à un mort qu’on a laissé poignarder sous nos yeux assassins et complices. Ce non assistance à personne en danger, personne qu’ils affirment tous qu’ils connaissaient son état de santé, raison de plus pour le secourir, mais, il n’en a rien été. Ceci est un état aggravant de leur culpabilité. Voici la facture de la conscience.
Toute personne ayant un cœur et non un caillou ou des billets de banque à la place du cœur, le sait.
Alors, les vivants qui font les déclarations aux morts, sont peut-être des sorciers qui font tourner les tables. La révolution des cadavres je n’y crois pas du tout.
ML. La petite plume du